ChristopheAyneut
Dès aujourd'hui près de la moitié des naissances sont d'ethnies non-européennes. Ceci est une colonisation, une annihilation, un génocide. Mais vous vous méprenez sur les causes : bien peu de décideurs l'ont voulu ou décidé. La lâcheté, le panurgisme et le silence jouent un rôle bien plus grand.
C'est d'abord le résultat des tabous et dogmes post-gm2 : interdiction de parler de la race, les minorités vaches sacrées, la diabolisation essentialisante du blanc, la victimisation essentialisante des afro-arabes, ... Lentement le discours public a été éteint.
Au fond ils ont bâti une nouvelle religion d'état, le progressisme héritier du christianisme. Car suite à la gm2 il fallait moraliser, épurer. Les médias ont décrété que la France n'est plus le pays des Français mais celui de leurs valeurs, de leurs textes sacrés, de leurs lois, de leur état, de leur élite. Une théocratie.
Et cette religion a inévitablement repris le substrat judéo-chrétien, obsédé par le péché, la souillure, l'expiation. Cette fois c'est l'homme blanc qui est pécheur à la naissance, coupable du péché originel de l'esclavagisme, de la colonisation et de la Shoah, et il doit expier par la rédemption. Tandis que la Nature est ce royaume immaculé, opposé à la souillure humaine, au nom duquel il faut sacrifier les humains. L'auto-flagellation bat son plein.
Mais c'est aussi ce trope très français, mais pas que, qui veut qu'en crachant sur les siens, on se hisse au-dessus d'eux. En crachant sur les Français on est supérieur. En sacrifiant des Français on est supérieur.
C'est enfin l'isolement des élites dans leur tour d'ivoire, de plus en plus détachée des intérêts nationaux et donc des intérêts collectifs. Africains, Arabes, Français, elles s'en foutent : tant que ça ferme sa gueule et que ça obéit... Elles accouchent d'un grand Reich d'un milliards d'esclaves, au nom du Bien et d'une illusion de puissance. De toute façon elles ne connaissent pas le réel, et elles sont convaincues qu'elles peuvent se permettre de l'ignorer.