lugrin Avant de nous répéter les slogans du PCF et de la CGT, ou du RN, il faudrait regarder ce qui est fait dans les pays européens.
Cas de l'Espagne: 83,3 % d'électricité bas carbone et 108,34 g de CO2eq/kWh.
Cas de l'Allemagne: 63,2% de bas carbone et 280,13 g de CO2eq/kWh.
Cas du Royaume-Uni : 60,5% de bas carbone et 226,84 g de CO2eq/kWh.
Cas de l'Italie: 40,6% de bas carbone et 301,36 g de CO2es/kWh.
Cas de la Pologne: 29,2% de bas carbone et 545,75 g de CO2eq/kWh.
Cas du Danemark: 83,4% de bas carbone et 156,09 g de CO2eq/kWh.
Cas de la Belgique: 68,7% de bas carbone et 158,72 g de CO2eq/kWh.
Cas du Portugal: 76,9% de bas carbone et 130,81 g de CO2eq/kWh.
Cas des Pays-Bas: 55,2% de bas carbone et 269,80 g de CO2eq/kWh.
Cas de la France: 96,1% de bas carbone et 36,16 g de CO2eq/kWh.
Si la France produit une électricité très bas carbone grâce à nos vieilles centrales nucléaires, il faut respecter les choix de pays comme l'Espagne, le Portugal , le Danemark qui atteignent des scores de 100 à 150 g de CO2eq/kWh en ayant fait le choix d'avoir peu ou pas du tout de nucléaire et où l'éolien est fondamentalement important. Donc dire qu'on va se passer d'éolien ou aussi bien de solaire n'a aucun sens: énergies très décarbonées, pas de passifs environnementaux sur le long terme, facile à construire et à entretenir et facile à déconstruire, le tout avec un élément essentiel: l'énergie primaire est gratuite.
La source: Low-Carbon Power : Observer l'évolution vers les énergies bas-carbone.