Slin
Il y a d'abord les innombrables attaques contre la libre-pensée :
- censure a priori des moteurs de recherche
- fermetures, et menaces de fermeture, des médias dissidents
- exclusion des médias dissidents de l'accès aux subventions, et autres facilités
- dissolution d'associations non-violentes et fermetures de lieux de réunion (déni du droit de réunion)
- abus des lois anti-terroristes et du risque de trouble à l'ordre public (inversion de l'arrêt Benjamin)
- interdictions administratives de concerts et conférences par les pouvoirs locaux
- diabolisation et destruction professionnelle de ceux qui ne pensent pas correctement
- milices progressistes qui tabassent ceux qui ne pensent pas comme elles et brûlent leurs possessions, sans jamais être poursuivies
- persécution judiciaire de la vérité et des non-conformes
Puis il y a ces personnes qui, pour avoir manifesté ou avoir été membre d'un club de supporters, sont contraintes plusieurs années de pointer quatre fois par jour au commissariat, ce qui les désinsère professionnellement.
Il y a aussi cette multiplication d'incarcérations préventives de personnes qui ne posent pourtant pas de dangers et ne menacent pas de quitter le territoire, donc au mépris de la loi par les procureurs. Mesure illégale dont le policier qui a tiré vient de faire les frais.
Il y a encore cette surveillance de masse à laquelle chacun est désormais soumis, puisque chaque citoyen est suspect dans le chaos anomique du IVè reich.
Il y a bien sûr le déni du droit à avoir un pays, une histoire, une culture, à pouvoir vivre parmi les nôtres, à choisir avec qui nous voulons vivre et travailler. Ainsi que la propagande qui nous pousse à nous haïr, à nous considérer coupables dès la naissance puisque Français, blanc, mâle, humain.
Enfin il y a l'insécurité contre les biens et les personnes, l'impossibilité de vivre en paix sur une part croissante du territoire, la main mise du crime organisé sur un nombre grandissant d'entreprises, d'entrepreneurs et de territoires.