Sarah El Haïry, Secrétaire d’Etat à la Jeunesse a récemment déclaré être lesbienne.
Nomme-t-on un ministre pour sa valeur ministrable ou pour ce qu’il représente ?
S’il en est de sa valeur, il peut provenir de tous les coins du monde. Ce qu’il mange, fait dans son lit, assume dans sa vie intime, ne nous regarde pas.
Mais si elle ou il est nommé pour ce qu’il a besoin d’exprimer , de plus important pour elle ou lui, c' est à dire sa satisfaction sexuelle, ou son besoin constant de se nourrir de rutabagas, ou de s’habiller en rouge plutôt qu’en jaune; ce n’est donc pas un ministre qui est donné à la Nation, mais l’étendard d’une sexualité, d’une nourriture ou d’un habillement.
A considérer notre société sous l’empire macronien, il apparaît que nos élites se doivent d’avoir, le slip ou la culotte bien pourvus, puisque cela seul compte car révélé alors que l' on ne demande rien.
Aucun philosophe, aucun généticien, aucun anthropologue ne s’est jamais prononcé sur l’utilité d’une verge ou d’une vulve ou d' une orientation homosexuelle, dans la gestion des affaires d’une nation, d’un peuple, d’un territoire.
Ainsi, la dernière nommée dans cette république sexualisée est -elle a Secrétaire d’Etat à la Jeunesse, Sarah El Haïry.
Après Beaune, Dussopt, Attal et les autres.
Est-ce une homosexuelle qui a été choisie ou une Secrétaire d’Etat ?
On peut s' interroger sur cette publicité des orientations sexuelles qui ne vient guérir aucune plaie de la France, aucun manque, aucune disharmonie, aucun désespoir.
source ( avec des modifications ) : https://www.tribunejuive.info/2023/04/12/jean-luc-de-cabrieres-sarah-el-hairy-secretaire-detat-a-la-jeunesse-la-derniere-nommee-dune-republique-sexualisee/