[supprimé]
L'intérêt potentiel est qu'il s'agirait peut-être d'un vrai vaccin. Mais qui arrive après les milliards d'injections Pfizer, donc bof.
Le H1N1 était un test pour voir comment les populations seraient prêtes à se soumettre (ou pas). Bon entre 18000 et 250000 morts à l'échelle de la planète, donc epsilon. Et quelque chose comme 3% des Français qui se sont précipités vers l'injection, le reste des doses ayant fini à la benne. Avec le C19 l'organisation a été plus réfléchie. "Si vous ne faites pas injecter, vous ne pourrez plus aller au restaurant, au cinéma, au théâtre, au troquet, à la salle de sport, au stade, au musée, à la bibliothèque, prendre un train autre que TER, un avion, etc". Alors que à peine plus d'un Français sur trois était motivé pour se faire injecter quelques semaines avant le lancement des "vaccins C19" (sic!), on arrive à plus de 80% d'injectés parmi la population concernée. Hypocritement la macronie (et ses alliés) se sont félicités d'avoir "convaincu" les Français. Ils les ont convaincu surtout de ne pas renoncer à leurs vacances et à leurs loisirs. Ca s'appelle du chantage. Je fais partie de ceux qui ne cèdent JAMAIS au chantage et nous (ne) sommes (que) quelques millions. Au taf, il y a (à priori, car je ne me fie qu'aux dires des collègues) un petit 80% d'injectés. Cela ne les a pas empêché pour la plupart de contracter le C19. Sur les 20% restants la moitié l'ont aussi eu, aucun avec une "forme grave". Pour le moment je suis "passé entre les gouttes". J'ai plusieurs fois eu des symptômes mais test antigénique négatif à chaque fois. Alors que je prends quotidiennement les transports en commun, que je vais très souvent au cinéma (quand la macronie me l'autorise), au restaurant, au troquet, etc. Je vais peut-être mourir dans 3 jours ou 6 mois ou 4 ans dans un attentat, d'un cancer, d'un AVC, d'un accident de la vie quotidienne, mais pas des injections Pfizer/Moderna. "Mon corps, mon choix" est une rengaine féministe. Dont acte. Mais cela n'a pas été respecté pour les professions médicales, les militaires, les pompiers et d'autres professions pour lesquelles ca a été "injecte-toi ou casse-toi". Toujours diviser. Un précepte des politicards dont la macronie a fait son étendard. Si il n'y avait pas eu les "incitations" (sic!) à se faire injecter, nous serions un pays serein (enfin relative, je ne vais pas ici parler des questions de société qui fâchent...), mais ce n'est plus le cas car pas mal de ceux qui se sont fait injecter pour prendre un avion ou aller "à la salle" (aucun rapport avec Jean) l'ont mauvaise de savoir que leurs collègues/amis/famille qui n'ont pas cédé au chantage ont aujourd'hui les mêmes "droits" (cf le contrôle social à la chinoise, nous y arrivons).
Quant à l'histoire du pognon, oui il a été gaspillé, y compris pour des doses qui vont finir à la benne pour cause de date de "péremption". Oui mes impôts (et les tiens) ont servi à financer plus de 100 millions d'injections d'un truc expérimental, des centaines de millions de tests, plus tout le reste. Alors que quand il y a de vrais besoins (école, police, justice, voirie,...) la réponse est "y a pas le budget". Après quitte à jeter l'argent par les fenêtres je préfère (mais c'est un pis aller) voir quelques millions de doses à la benne que dans les veines des Français. Cela étant la France étant devenue ce qu'elle est, et bien qu'étant un fervent patriote, j'envisage de plus en plus de quitter l'Occitanie qui coule dans mes veines et fait battre mon cœur au profit d'un pays moins vicié. On verra ce que nous réserve l'avenir...