On entend souvent parler de la « naïveté chrétienne » qui serait à l’origine de nos maux. Nous devrions donc renoncer à cette morale, à qui nous devons tout.
Il y a « naïveté » car les principes ont été dévoyés, tronqués voire falsifiés dans certains cas.
Prenons l’exemple du pardon (ou de l’autre joue qu’on tend) : cela est conseillé s’il est fructueux de le faire, si cela implique un repentir sincère. Autrement, l’ultime pardon est réservé à Dieu.
Pareil pour la charité : elle commence par soi-même, et pas au détriment de soi.
Continuons sur l’amour : il est recommandé à l’égard du prochain, pas de l’autre.
Le Christianisme est amour qui n' est pas un synonyme de faiblesse