A l'est, rien de nouveau. A Taiwan, non plus. L'enjeu de cette place tiraillée, est immense, si l'on inclue, toutes les mers alentour, et tout le trafic maritime qu'il y inclue. l'émancipation actuelle chinoise, n'ayant de précédent que via l'impérialisme japonais des années 30, Taiwan sera dans le futur proche, un des enjeux majeurs des années qui nous arrivent. La chine ne lachera jamais ce morceau Et les USA comptent bien remplir leur rôle de tonton protecteur. Ce match, n'a rien de récent, mais il va sérieusement s'intensifier. https://www.courrierinternational.com/article/diplomatie-les-etats-unis-cajolent-taiwan-aux-depens-de-pekin

Les incursions aériennes chinoises dans les environs de Taïwan ont atteint un niveau record en 2020 http://www.opex360.com/2021/01/06/les-incursions-aeriennes-chinoises-dans-les-environs-de-taiwan-ont-atteint-un-niveau-record-en-2020/

[supprimé] et ils ont même des drones! 🙂 L'intimidation est constante. L'ile est autant habitée par des taïwanais que des chinois. (je ne sais pas les proportions) Ca peut rapidement se transformer en fiasco type Hong Kong, bien que les situations (géographiques et politiques) soient très différentes.

La Chine a développé fortement sa marine militaire ces dernières années. https://www.meretmarine.com/fr/content/toujours-plus-puissante-la-marine-chinoise-fete-ses-70-ans A part la lutte contre la piraterie au large de la Somalie, où elle coopère avec les marines occidentales, défendant une route commerciale importante pour elle, on ne la voit que dans la zone d'influence traditionnelle de la Chine. Elle est active en mer de Chine qui a un fort potentiel pétrolier et où la Chine a de larges revendications territoriales.

cheshire-cat Il faut préciser aussi, que les USA cherchent à développer leurs bases militaires dans toute la région, avec un vague espoir de circonscrire les vélléités chinoises. Il faudrait aussi parler du Caucase, parce que les américains y sont encore très présents et avaient profité de leur conflit avec les talibans pour faire pousser leurs bases comme des champignons sur le continent. Là encore, sur une carte, on voit très bien une tentative américaine d'encercler les enjeux chinois. Tout en grignotant méchamment sur l'ancienne sphère d'influence soviétique (via leurs ex républiques Soviétiques) On pourrait aussi parler de l'affaire des oléoducs, qui devaient traverser l'Afghanistan, pour acheminer du cambouis jusqu'en Chine. A l'origine c'était Chevron qui gérait ces tracés. Puis Chevron a vendu cette partie à … CNOOC. un leader chinois du pétrole.

[supprimé] L'ile est autant habitée par des taïwanais que des chinois. (je ne sais pas les proportions) Les différents groupes ethniques La population de Taïwan est composée de 98 % de Chinois Han et de 2 % d'Aborigènes. Les Chinois Han sont eux-mêmes souvent divisés en 84 % de « Taïwanais de souche », c'est-à-dire les Chinois Han qui étaient présents lors de la colonisation japonaise (composé de 70 % de Hokkiens et de 30 % Hakkas) et de 15 % de Chinois Han venu du continent après la défaite des nationalistes face aux communistes. Wikipédia. Après la sécession, les réfugiés nationalistes du continent contrôlaient le parlement, où les régions de Chine continentale étaient représentées. Les indépendantistes taïwanais ont obtenu que ce soient les habitants de l'îlequi soient représentés, ce qui avait déplu à Pékin.

Bien, nous allons faire un saut hors Europe et regarder ce qu'il se passe actuellement entre l'Asie et l'Océanie, et surtout à la lumière des derniers rebondissements dans le pacifique. Pour le moment je ne mets pas trop de sources, tous ceux qui suivent un peu les infos savent ce qu'il en est, même si ça ne fait pas la une des actualités. Dernièrement, la Chine a signé un accord de coopération avec les Îles Salomon, un minuscule archipel du pacifique, au large de l'Australie, à l'est. Et bien sûr la réaction ne s'est pas fait attendre ! "La Chine a annoncé, mardi 19 avril, avoir signé avec les îles Salomon un vaste accord de sécurité, au moment où plusieurs pays occidentaux, Etats-Unis en tête, prêtent à Pékin des ambitions militaires dans le Pacifique." Source Lemonde.fr L'Australie a immédiatement parlé de ligne rouge, le terme à la mode depuis quelques mois, et menace la Chine, si nécessaire. Bref, elle fait les gros yeux ! Là-dessus arrivent les USA, qui ont dernièrement opéré un rapprochement conséquent avec l'Australie à travers une sombre histoire de sous-marins, et une aide mutuelle en cas d'agression. Comprendre par là que les USA ne veulent pas voir les Chinois dans leur pré-carré, et qu'ils ne les veulent surtout pas présents militairement alors qu'eux, une fois de plus, occupent la zone depuis la 2GM. Un peu comme en Europe, en fait. C'est d'ailleurs ce qui a valu ce cinglant discours du porte-parole chinois le 25 avril qui n'a pas mâché ses mots en rappelant quelques vérités que les Européens ont tendance à oublier bien vite, l'européen étant un être fragile qui a besoin d'être rassuré. "Les États-Unis prétendent maintenir le rôle central de la Charte des Nations unies, mais il est clair pour tout le monde que les États-Unis font tout le contraire. Lorsque le Conseil de sécurité des Nations unies a refusé d’autoriser le recours à la force par les États-Unis en République fédérale de Yougoslavie, en Irak, en Syrie et dans d’autres endroits, les États-Unis et l’OTAN ont ignoré l’ONU, ont mené des guerres et se sont engagés dans une ingérence gratuite contre des États souverains." La suite ici, rubrique conférence de presse, le 25 avril : https://www.fmprc.gov.cn/fra/ Quand l'Europe aura recouvré un climat plus sain et plus indépendant, c-à-d dans quelques lustres, c'est du côté de l'Asie jusqu'à l'Océanie qu'il faudra braquer les radars, les prochains conflits sont là-bas, et déjà latents.

@"[inconnu]"#p4477713 Je me permets de te ré-aguiller sur ce fil, que j'ai ouvert, afin de ne pas perturber le sujet ukrainien, quand bien même les situations pourraient se ressembler demain car les causes et les acteurs y sont, pour certains, communs.

Non rassasiés de mettre le bazar en Europe avec l'OTAN, les US vont créer l'OTAP (Organisation du Traité de l'Asie -Pacifique) qui n'aura de pacifique que son nom.

Ce ne sont là que les prémices d'une nouvelle Ukraine qui se mettent en place. Elle aura pour centre Taïwan que les Chinois n'ont jamais voulu abandonner, car Taïwan c'est la Chine des dissidents, donc des Chinois, à la base.

[supprimé] Votre ignorance est cruelle, les dissidents gouvernent à Pékin. Taïwan est la 1ère République de Chine d'un point de vue juridique.

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L'Asie-Pacifique, nouvelles zones de tensions...

white-widow-power

Neodadais Après tout, "le ballon a approché une zone sensible de notre territoire, donc dans le doute de sa nature on l'a abattu", cela les fait bien moins passer pour des cons

Ils l'ont abattu dans l'Atlantique...

Neodadais

white-widow-power Ils l'ont abattu dans l'Atlantique...

Ah. Il n'y a pas le Pacifique entre Chine et Atlantique ? Où l'aéronef est passé au-dessus de l'Europe ?

Parceque, si c'est trop tard et trop loin pour s'en occuper dans l'est Pacifique, c'est assez près au dessus des usa et dans l'Atlantique pour que les Chinois s'en occupent ?

Note : il semblerait que la trajectoire passe plutôt par le nord du Pacifique, jusqu'au nord des Rocheuses, puis redescende dans les grandes plaines.

candidus

Neodadais C'est là qu'on apprend que les Américains n'auraient détecté cet OVNI qu'après qu'il ait traversé 90 % de leur espace aérien.
Si ça se trouve, les Chinois en ont tiré des enseignements utiles.

white-widow-power

Tu ne comprends (ou feins de ne pas comprendre) pas grand chose.
//pas le lieu -Neodadais//

Neodadais

candidus C'est là qu'on apprend que les Américains n'auraient détecté cet OVNI qu'après qu'il ait traversé 90 % de leur espace aérien.
Si ça se trouve, les Chinois en ont tiré des enseignements utiles.

Des media signifient que l'ordre d'abattre l'engin daterait de mercredi. Src sudouest

M. Biden a indiqué avoir donné l’ordre mercredi d’abattre « dès que possible » le ballon, entré une première fois dans l’espace aérien américain le 28 janvier au-dessus de l’Alaska, puis une seconde au niveau de l’Idaho, dans le nord-ouest des États-Unis, le 31 janvier, soit mardi.

Du coup, cela signifie qu'il n'était pas problématique pour les us de le laisser traverser le pays.

chevalier-du-temple

[supprimé] Les chinois viennent de se faire ridiculiser. Ils croyaient sans doute que leur ballon stratosphérique allait échapper aux chasseurs américains?

Vos déductions sont absurdes ! Les Chinois n'ont pas besoin d'un ballon qui vole au gré des vents pour faire de l'espionnage. Pour cela ils possèdent de nombreux satellites très sophistiqués. Un ballon ne peut certainement pas remplacer l'efficacité d'un satellite, surtout un ballon qui ne choisit pas sa trajectoire. Ce ne sont pas les chinois qui sont ridiculisés.

candidus

chevalier-du-temple Les seuls ridicules dans cette affaire sont les journalistes et les commentateurs politiques.

Neodadais

chevalier-du-temple surtout un ballon qui ne choisit pas sa trajectoire

Ce ballon est supposé pouvoir choisir (seul) sa trajectoire...

chevalier-du-temple

candidus Je plussois ! Une fois de plus, il s'agit d'une exploitation politique d'un incident qui n'a pas de quoi fouetter un chat. On fait tout un état d'un ballon chinois soi-disant espion, sans preuve aucune. Une question s'impose : quelle est la valeur stratégique d'un ballon qui survole au hasard au gré des vents ?

Nymo

Neodadais Ce ballon est supposé pouvoir choisir (seul) sa trajectoire...

Ah . Super ballon alors, il décide ou influence les vents? (en altitude, ça n'est pas comme à la surface ou l'atmosphère proche

Neodadais

Point presse, histoire d'éviter que soit fondées des interprétations sur de mauvais préjugés :

Il n'en reste plus que des débris, au fond de l'océan. Le ballon stratosphérique chinois qui survolait le territoire américain depuis près de cinq jours a été abattu par l'armée américaine, samedi 4 février, au large de l'Etat de Caroline du Sud (sud-est du pays). Le ballon se trouvait à environ 18 kilomètres d'altitude et à une distance de 11 kilomètres de la côte, selon des responsables du Pentagone.

Des opérations de récupération des restes de l'engin, qui pourraient impliquer des plongeurs, sont désormais en cours, afin d'analyser plus précisément la technologie utilisée.

Le Pentagone a affirmé jeudi qu'il suivait à la trace les mouvements d'un "ballon espion" chinois volant à haute altitude au-dessus du territoire américain et de sites militaires sensibles, précisant qu'il ne présentait pas de menace militaire ou physique pour les personnes au sol.

A la demande du président américain, Joe Biden, le Pentagone a examiné vendredi la possibilité d'abattre le ballon qui survolait le territoire américain. Il a d'abord écarté cette hypothèse en raison des risques posés par les débris. Une opération a finalement été menée samedi par un avion de chasse F-22. Elle a eu lieu "au-dessus de l'eau, au large de la côte de Caroline du Sud, dans l'espace aérien américain", a déclaré dans un communiqué le ministre de la Défense américain, Lloyd Austin.

Selon le porte-parole du Pentagone, l'aéronef évoluait au-dessus des vols commerciaux. Cette zone aérienne située en pleine stratosphère, en dessous de l'espace, n'est aujourd'hui régie par aucune règle internationale, précise à franceinfo Emmanuel Véron, docteur en géographie et spécialiste de la Chine contemporaine. "Il existe encore un vide juridique autour de cet espace, qui n'est pas régulé. Il s'agit d'une tranche aérienne nouvelle dans laquelle se développent des stratégies de puissance, ces dernières années".

Src franceinfo

En marge de ce premier incident, le ministère de la défense américain a fait savoir vendredi avoir repéré un deuxième « ballon de surveillance chinois » au-dessus de l’Amérique latine, tandis que la Colombie signalait que l’engin avait survolé son territoire durant le week-end.

L’armée de l’air colombienne a précisé que le ballon avait été repéré vendredi matin et surveillé jusqu’à ce qu’il quitte l’espace aérien national. Les autorités militaires du pays sud-américain ont assuré que l’engin n’avait à aucun moment « menacé » la sécurité et la défense du pays. Aucun détail sur sa localisation ou sa trajectoire n’a été donné.

« Après vérification, il s’avère que ce ballon sans pilote provient de Chine. Il est de nature civile et utilisé pour des essais en vol », a expliqué Mao Ning, une porte-parole du ministère des affaires étrangères chinois. Elle a ajouté lors d’un point de presse régulier que « sous l’effet du climat et en raison de ses limitations en termes de manœuvrabilité, ce ballon a sérieusement dévié de sa trajectoire prévue et s’est égaré dans le ciel au-dessus de l’Amérique latine et des Caraïbes », sans préciser à quelle entité appartient l’engin.

SrcLeMonde

La question commence à se poser : faut-il tirer sur le ballon ? Officiellement, l’administration craindrait les retombées de débris sur les habitants, le châssis de l’intrus équivalant à trois autobus. Au sol, on se moque un peu. Avec trois habitants au kilomètre carré, il y a plus de risques de blesser une vache, l’espèce bovine comptant deux fois plus de membres dans cet État rural des grandes plaines, que l’espèce humaine. La blague court de Billings à Missoula : faut-il prendre la 22 Long Rifle à l’arrière du pick-up pour tenter de descendre le ballon ?

Src l'Huma

Et enfin pour finir :

Alors que les ballons météo utilisés depuis plusieurs décennies naviguaient soit au gré du vent, soit par un système de cordage mené depuis le sol, les ballons espions repérés dans le ciel américain embarqueraient des systèmes de guidage plus perfectionnés.

Dans les faits, un tel matériel qui a été repéré dans le ciel américain peut être observé dans certains cas à l'œil nu ou avec des instruments optiques, toutefois ces appareils auraient la capacité d'échapper aux radars, ce qui les rend plus complexes à détecter. «Ils sont fait en matériaux qui ne réfléchissent pas la lumière, ils ne sont pas en métal. Donc même s'ils peuvent être plutôt gros, les détecter sera une difficulté. S'ils sont assez petits, les dispositifs d'espionnage et la charge utile de ces aéronefs peuvent même passer inaperçus», poursuit William Kim.

En outre, les observer depuis le sol est rare. Les deux ballons aperçus étaient descendus sous les 50.000 pieds (environ 15 km d'altitude), tandis que ces objets volent généralement entre 65.000 et 100.000 pieds

On pourrait penser ce type d'appareil très vulnérable et surtout facile à abattre. D'autant que des élus Républicains ont appelé Joe Biden ce samedi 4 février à détruire cet aéronef. Mais il s'agit d'une idée reçue. «Ces ballons fonctionnent à l'hélium, vous ne pouvez pas juste leur tirer dessus et les faire prendre feu comme un dirigeable», affirme le spécialiste.
Et de poursuivre : «Si vous les trouez, ils vont juste se dégonfler très lentement. En 1998, l'armée de l'air du Canada avait envoyé un avion de combat F-18 pour tenter d'abattre un ballon espion. Ils l'ont criblé d'un millier de munitions de 20 millimètres. Et cela a quand même pris six jours avant qu'il redescende»

Src cnews

Neodadais

Nymo

Tu te rends comptes que tu appuyes la bêtise de chevalier tout en exposant ta déficience en lecture ?
Les explications se trouvent là (et dans les liens proposés en source)

Neodadais

[supprimé]

[supprimé] Cela doit y aller sec dans les milieux complotistes

Essaie de ne pas répéter bêtement les errements de l'autre nigaud des Alpes, c'est une information qui a été donnée dans un journal TV qui disait qu’au-delà d'une certaine altitude (avant l'espace lui-même), il n'y avait plus de notion d'espace aérien. Visiblement, ce ballon était bien dans l'espace aérien US.

[supprimé]

[supprimé] Je ne m'occupe d'aucun nigaud, et au lieu de coller aux âneries des plateaux de télé vous devriez garder votre propre esprit critique. Je vous l'ai dit, il n'y a pas de limite verticale à la notion d'espace aérien découlant d'un accord mondial et donc la loi américaine s'appliquait pleinement et entièrement.

chevalier-du-temple

Certains experts affirment que le ballon chinois volait au-dessus des espaces aériens nationaux qui seraient de 22kilomètres à la verticale. Si cela est vrai alors ce ballon ne violait pas la souverainté aérienne des USA car il se trouvait dans l'espace international. D'un autre côté, il pourrait très bien s'agir d'une violation involontaire, s'il s'avère que les vents ont dévié le ballon de sa trajectoire.

colomba

Pourquoi faire tout un pataquès de ce ballon avec toute la panoplie de satellites au dessus de nos têtes. Il n'y a qu'a voir ce que les USA sont capables de transmettre aux Ukrainiens en matière de renseignements

chevalier-du-temple

colomba Pourquoi faire tout un pataquès de ce ballon avec toute la panoplie de satellites au dessus de nos têtes.

Parce que pour les américains ce ballon est une aubaine inespérée pour monter l'opinion publique américaine contre la Chine. N'est-il pas étonnnant que le plus grand espion de la planète se plaigne d'être survolé par un soi-disant ballon espion ? Quelle hypocrisie, comme si le américains n'effectuaient pas eux-mêmes des missions d'espionnage au-dessus de la Chine sous déguisements civils. Des gens qui espionnent même leurs alliés.

france2100

Nymo
Certains ballons ajustent leur altitude pour attraper les vents allant dans la direction voulue.

chevalier-du-temple

Pourquoi les Chinois utiliseraient-ils un ballon stratosphérique pour espionner les USA alors que leurs satellites sur orbite possèdent des capacités largement supérieures ?

[supprimé]

chevalier-du-temple Pourquoi les Chinois utiliseraient-ils un ballon stratosphérique pour espionner les USA alors que leurs satellites sur orbite possèdent des capacités largement supérieures ?

C'est que leurs satellites doivent être aussi bon que les chars de l'armée russe.

[supprimé]

[supprimé] Stupide ! Je relaie une info, je n'y colle pas.

white-widow-power

[supprimé]

Good job !
Une fake news se propage 6 fois plus vite qu'une vraie info sur le net.

Les fake news circulent plus rapidement sur Internet que les vraies informations, mais davantage du fait des internautes eux-mêmes que des «bots», selon une étude publiée jeudi par la revue Science. Elle porte sur la période allant de 2006 à 2017 et sur quelque 126.000 informations, vraies et fausses, diffusées sur Twitter par 3 millions de personnes plus de 4,5 millions de fois.

https://www.20minutes.fr/high-tech/2234527-20180309-ligne-fake-news-repandent-six-fois-plus-vite-vraies

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