Du nouveau, dans cette histoire d'annulation.
Petit 1, les USA annoncent de très mauvaises nouvelles
- Les USA doivent remplacer, pour eux, une soixantaine de sous marins, et... America First.
- Pénurie de matériaux et pièces primordiales
- Comme attendu, les délais prennent déjà officiellement, 5 ans supplémentaires dans la vue (au mieux, il y aura UN sous marin, sur les 8 commandés, en 2045, mais ça, c'est déjà très dur à tenir)
-Surcouts considérables à prévoir
Petit 2, le montant que l'Australie devra verser à la France après la rupture du contrat, s'aggrave.
Je cite une partie de l'article (Élu en mai dernier, le nouveau Premier ministre travailliste australien Anthony Albanese a souhaité repartir sur des bases diplomatiques saines avec la France. En juin, il a annoncé que l'Australie avait trouvé un accord pour dédommager Naval Group, le groupe de construction de sous-marins français, à hauteur de 555 millions d'euros.
Mais ce n'est qu'une partie du prix à payer pour les Australiens. Lors de l'annonce de l'indemnisation, Anthony Albanese a précisé que la rupture du contrat coûterait au total 5,5 milliards de dollars australiens, soit environ 3,7 milliards d'euros, au contribuable. Alors forcément, en Australie, «on va constamment remettre en question la décision d'avoir tourné le dos à la France. Pour des raisons de coûts, mais aussi de délais», explique Alexandre Dayant.
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On reprécise que l'AUstralie avait déjà payé 950 Millions d'euros à Naval Group, comme prévu, selon les avancées du chantier total.
Dernière info, l'Australie, avec la fin de sa classe collins (propulsion diesel, sous marins à vocation défensive, et non offensive) l'Australie va se retrouver en manque CRUCIAL de sous marins.
On discute, aujourd'hui, d'acheter des sous marins tout prêts, en attendant les bonnes grâces américaines pour qu'ils livrent enfin un sous marin de ceux promis.
Royaume Uni, Idem, sont totalement dans l'incapacité de produire le moindre sous marin actuellement.
Le nouveau premier ministre australien, élu en Mai, compte renouer avec la France. Et pourquoi pas, racheter du sous marin d'occasion, en attendant.
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Il se pourrait bien que La France soit plus que gagnante avec cette histoire.
(sans parler de l'histoire "propulsion nucléaire" qui ne colle pas du tout avec l'australie écologiste et la Nouvelle Zélande pas super militariste et encore moins nucléariste, depuis le Rainbow Warrior.)