[supprimé] t'as lu mes liens? Au moins? un commentaire?
Il n'y a aucun intérêt à commenter ce qui relève de la propagande concertée à grande échelle. Partout en occident, des rédactions de journaux détenus par des milliardaires et autres groupements financiers peu scrupuleux se sont mis à publier des articles pouvant être résumés par; "Oulala, si je m'étais fait vacciner, j'aurai pas fini en réanimation ! Pauvre de moi !"
S'attarder sur ces inepties revient à s'informer par le biais de la Pravda du temps de l'URSS.
[supprimé] tu vas me sortir les 20 cas de thrombose, que tout le monde connait avec l'astre zeneca???
Les gens qui ont eu le courage de mettre en avant le risque de thromboses lié à Astrazeneca subissaient il y'a plusieurs mois le sort de ceux qui parlaient encore récemment des risques de myocardite chez les jeunes liés au vaccin Pfizer: Insultés, salis, considérés comme des complotistes fous.
[supprimé] Chaque jour les hôpitaux pratiquent le tri thérapeutique "qui va t on débrancher aujourd'hui ? pour libérer un lit, pour un nouvel arrivant gravement contaminé?"
Ce n'est pas aux patients de subir les conséquences des décisions criminelles qui ont été prises dans le cadre de la "rationalisation" des couts de fonctionnement des hôpitaux.
Détruire l'hopital public, pour ensuite utiliser le manque de moyen des soignants (et l'interdiction des traitements potentiels) comme prétexte à une politique vaccinale coercitive, relève de la logique du pompier-pyromane.
En réalité, toutes les conditions sont réunies pour créer de la suspicion vis-à-vis des vaccins.
Les patients ont besoin d’accéder à une information libre, non biaisée et à une pluralité d'avis. Aujourd'hui, l’information est politisée, non-indépendante et les voix dissidentes sont réduites au silence.
Autre raison majeure: Le fait que ce vaccin serve de fondation à une logique de discrimination, de contrôle social et de traçage, va à l’encontre de mes principes et de ceux de beaucoup de monde.
La logique coercitive, surtout lorsqu'elle est issue d'une personnalité politique controversée voire détestable, suffit à être contre-productive.
La véritable honte, c'est approuver cette logique de coercition et de censure.
[supprimé] Oui. Dans la mesure où ils nuisent à la collectivité, ils ne devraient plus bénéficier des services publics.
Pas d'alloques pour les shadoks!
Ni d'école, de pompiers, de police ou de quoi que ce soit mettant en œuvre des services financés par la collectivité.
Dernière avertissement avant Cayenne.
Les shadoks, c'est plutôt ceux qui consentent a une vaccination qui deviendra bientôt itérative, à qui on a promis qu'elle déboucherait sur le retour à une vie normale qui se fait toujours attendre, et dont les effets à long terme sont inconnus.
Nous, nous sommes des hommes libres, et nous nous défendrons vis-à-vis de toute forme de violence exercée à notre égard.