cheshire-cat
Ca aurait été un argument valide si les chiffres avaient tenu compte des décès à long terme après la piqure mais ce n'est pas le cas. Relis mon post ainsi que l'article;
Le Dr Seligmann et son collègue ont poursuivi en précisant que ces chiffres sont probablement beaucoup trop bas car, ils ne tiennent compte que des décès survenus « sur cette courte période » et « n’incluent pas les accidents vasculaires cérébraux et les événements cardiaques (et autres) résultant des réactions inflammatoires ». Les chiffres ne tiennent pas compte non plus des complications à long terme », a-t-il expliqué.
De plus, en respectant la logique de ton raisonnement, on pourrait reclasser la majorité des morts COVID en EHPAD en attribuant les décès à d'autre maladies ou à des causes naturelles, parce que "espérance de vie résiduelle de toutes façons".