Les fait divers au printemps donnent toujours une impression de contre temps.

saint-louis
Seulement 10 mois ferme (donc pas de prison en réalité) pour un cambrioleur multirécidiviste étranger qui vient de piquer 60k€.

Pendant ce temps un flic vient d'écoper de 4 années fermes pour avoir simplement emmené un afghan à 30km de la ville après que celui-ci avait craché contre les passants et insulté les policiers, parce que le policier ne pouvait pas l'arrêter ni le présenter à la justice du fait des consignes.

    • [supprimé]

    Pas de véhicule de police dans les parages, c'est ballot pour les avocats du jeune cascadeur, à moins qu'ils ne lancent un appel à témoins au cas où des uniformes bleus auraient vaguement été repérés dans les alentours.

    Rodéos sauvages à Vaulx-en-Velin : un adolescent de 14 ans grièvement blessé en percutant une voiture
    https://actu17.fr/rodeos-sauvages-a-vaulx-en-velin-un-adolescent-de-14-ans-grievement-blesse-en-percutant-une-voiture/

      france2100

      Les flics ont eu tort de s'en prendre à ce clando cracheur ....... Ils savent qu'ils sont filmés en permanence, qu'ils ne seront pas défendus par leur hiérarchie DONC ils ne doivent intervenir que pour leur propre survie en cas d'agression !!
      Qu'ils laissent la population se démerder avec leurs emmerdes

        @liberté#4308211 saint-louis

        Je me demande ce qu'en pense BHL ! ! !

        Faites un geste pour la planète, arrêtez de vous demander ce qu'en pense BHL.
        Moins on donnera d'importance à ces crétins, plus vite ils retourneront dans le néant.

        Ejainiste

        DONC ils ne doivent intervenir que pour leur propre survie en cas d'agression !!

        Ca aussi c'est puni par les juges : en France le droit à la légitime défense n'est qu'une farce.

        La justice ne reconnaît aux Français que le droit d'être victimes, avec promesse d'apitoiements médiatiques entre deux divertissements.

          france2100 Ca aussi c'est puni par les juges : en France le droit à la légitime défense n'est qu'une farce.

          Je le sais bien ... mais dans ce cas ils auraient (peut être) la clémence du juge (s'il n'est pas trop pourri)

          C'est comme un dîner de cons qui aurait duré cinq ans. Cinq années pendant lesquelles un vigneron de champagne a été le jouet de cinq hommes qui lui ont soutiré près de 135 000 euros, dont des milliers de bouteilles. Plus qu'une escroquerie : une mystification. Comme si deux mauvaises étoiles s'étaient trouvées alignées, avec d'un côté un homme isolé, souffrant de « délires mégalomaniaques », et de l'autre un policier et ses complices qui ont nourri ses fantasmes pour mieux abuser de lui.

          Au terme d'un improbable engrenage, ils sont parvenus à faire croire au viticulteur qu'il était devenu pêle-mêle le rédacteur de discours à l'ONU, l'allié privilégié de Barack Obama ou le représentant secret de la famille royale marocaine en France. Sorti de cette emprise, Hugues B. a fini par retrouver sa lucidité, et a porté plainte en 2012. Dans le cadre d'une instruction ouverte à Nanterre (Hauts-de-Seine) notamment pour abus de faiblesse et extorsion, ses cinq tourmenteurs ont été mis en examen et comparaîtront prochainement devant le tribunal correctionnel.

          Au terme des investigations, les hommes de la PJ des Hauts-de-Seine ont considéré qu'Ahmed Z. était la cheville ouvrière de ce curieux attelage. En poste au SPHP, le service de protection des hautes personnalités, le policier a en outre été visé à partir de 2014 par une enquête administrative diligentée par l'IGPN, la police des polices, au terme de laquelle il a été révoqué.

          «Je suis quelqu'un de crédule»
          Ahmed Z. est le premier dont la route a croisé celle d'Hugues B., en 2007. Alors âgé de 31 ans, le jeune vigneron a pris la tête de la maison familiale de champagne, dont il est notamment le commercial. Producteur et négociant, son domaine élabore 450 000 bouteilles par an. Les parents d'Hugues B., souffrant de diverses pathologies, lui ont laissé les rênes de l'entreprise. Son frère, interné en psychiatrie, est aux abonnés absents.

          LIRE AUSSI > L’escroc voulait surfer sur le déconfinement

          D'après Hugues, sa famille appartenait aux Témoins de Jéhovah, dont il a fait partie « de [sa] naissance à [sa] majorité, décrit-il lorsqu'il est auditionné en 2014. J'ai cru en tout ce que l'on m'a dit jusqu'à mes 22 ans. Je suis quelqu'un de crédule. » Une brèche dans laquelle s'engouffre très vite Ahmed Z…

          Les deux hommes ont été présentés par un ami commun : Féfé, lui aussi policier. A l'époque, Ahmed Z. est encore affecté aux renseignements généraux de la Préfecture de police (RGPP) de Paris. Une précision d'importance, tant Hugues B. apparaît fasciné par ce monde de l'ombre, qui lui dévoile vite ses coulisses par l'intermédiaire de son nouvel ami Ahmed.

          «Je voulais l'aider»
          Ce dernier coche toutes les cases du parfait honnête homme. Pour preuve, il est même président d'une association humanitaire. Cartables sans frontières (CSF) a pour objectif de faire parvenir du matériel scolaire aux enfants pauvres, particulièrement dans les pays du Maghreb. Elle compte plusieurs fonctionnaires de police parmi ses membres.

          Au fil des mois, Ahmed et Hugues deviennent inséparables. Ils s'appellent au minimum deux à trois fois par jour. « Hugues B. n'a alors plus que de très rares contacts avec sa famille, évoque Me Marie Dosé, son avocate. Il était socialement très isolé. » « Son père est alcoolique, complète Ahmed Z. lorsqu'il est entendu en 2016 par l'IGPN. Son frère le battait. Hugues était constamment rabaissé. Je comprenais qu'il avait besoin d'un soutien fort. Je voulais l'aider. »

          Le cousin de Ben allah ?

          GRENOBLE - Deux personnes qui squattaient un logement ont tenté d’échapper à un contrôle de police en sautant sur le balcon du dessous
          Plusieurs enquêtes ont été ouvertes à Grenoble après la chute mortelle d’un homme du 13e étage d’un HLM, qui a entraîné la découverte d’un pistolet-mitrailleur et l’arrestation d’un comparse suspecté dans une affaire de meurtre datant de l’été dernier, a-t-on appris samedi de source judiciaire.
          Jeudi midi, deux personnes qui squattaient un logement à Grenoble ont tenté d’échapper à un contrôle de police, venue vérifier à la demande du bailleur social Grenoble Habitat si l’appartement était occupé illégalement, en sautant sur le balcon du dessous. L’un des deux hommes a chuté du 13e étage et s’est tué.
          Cet homme de 36 ans, était connu de la police, de la gendarmerie et de la justice. Les pompiers et le Samu, appelés, n’ont rien pu faire pour lui, avaient indiqué les secours. Son autopsie aura lieu lundi, a précisé le parquet. Le deuxième homme avait, lui, « réussi à sauter sur le balcon de l’appartement situé juste en dessous, au 12e étage », selon la police. Il a été interpellé et placé en garde à vue.

          Sur le balcon a été retrouvé « un sac contenant un pistolet mitrailleur Scorpion chargé de munitions 7.65 ainsi qu’un couteau à cran d’arrêt », a précisé le procureur de la République de Grenoble Eric Vaillant. « L’enquête sur les causes de la mort, la violation de domicile et la détention d’une arme de catégorie A a été confiée à l’antenne de police judiciaire de Grenoble », a ajouté le procureur. Le survivant, âgé de 21 ans, « nie la propriété » du pistolet-mitrailleur.
          Un juge d’instruction a par ailleurs demandé à l’entendre dans le cadre d’une enquête totalement distincte menée sur la mort d’un homme de 40 ans le 17 août 2019 de plusieurs coups de couteau dans le quartier populaire du Village Olympique. Et samedi, il a été « mis en examen pour le meurtre d’Olivier Mambakasa [nom de la victime] », a indiqué le procureur, précisant qu’il « niait les faits ». Le prévenu a été placé en détention provisoire, « il a demandé un délai pour préparer un débat contradictoire qui aura lieu dans les quatre jours », a souligné le magistrat.

          Encore une bavure policière

          • [supprimé]

          En Francie, l'avocat du malfrat porterait plainte contre la police pour "torture et actes de barbarie."

          • [supprimé]

          • Modifié

          Rassurez-vous, s'il fut quelque peu surpris par son arrestation, le migrant se porte bien.

          .

          Cherbourg : un migrant afghan en garde à vue pour homicide volontaire sur le président de l'association Itinérance.

          Le drame a eu lieu ce mardi 12 mai au domicile de la victime, à Bretteville-en-Saire ( 50 ) :
          Jean Dussine, président de l'association cherbourgeoise d'aide aux migrants Itinérance, serait mort à la suite de "coups de barre de fer"
          Un migrant afghan est en garde à vue pour "meurtre".

          [...] D'après des témoignages, "Jean Dussine dormait quand l'individu, un migrant afghan d'à peine 20 ans, s'en est pris à lui à coup de barre de fer. Il n'a pu être ranimé"
          https://france3-regions.francetvinfo.fr/normandie/manche/cherbourg-cotentin/cherbourg-migrant-afghan-garde-vue-homicide-president-association-itinerances-1827866.html

            [supprimé] un migrant afghan en garde à vue pour homicide volontaire sur le président de l'association Itinérance.

            Encore un bon candidat pour les Darwin Awards.

            Que le fisc confisque les dons de cette nuisible organisation et condamne sévèrement tous les contributeurs, personne n'a ça au programme pour 2022 non plus ?

              • [supprimé]

              • Modifié

              limonadier

              Une idée pour son épitaphe en lettres gravées à l'or fin :

              "On a une soixantaine de personnes qui devraient être hébergées mais qui ne le sont pas... On a l'impression que c'est pour dégoûter des gens.
              Jean Dussine, mars 2019"

                [supprimé] Une idée pour son épitaphe

                Quel gachis

                un vieux bidon d'occasion pour déchets toxiques suffira amplement

                [supprimé] Une idée pour son épitaphe en lettres gravées à l'or fin :

                "Bien que jamais fatigué, il est mort d'un coup de barre"

                Pour faire confiance à ces migrants afghans, faut être barré au départ.

                • [supprimé]

                Il suffit de ne pas leur tourner le dos, ni de piquer un petit roupillon, positions passagères de faiblesse leur offrant l'occasion de manifester leur reconnaissance.

                  [supprimé] C'est la règle de base avec le sauvage, quand on veut baisser la garde, il faut penser à refermer la cage avant!