JUSTICE - L’avocate du jeune homme condamné à 7 ans et demi de prison pour l’agression de Marin estime que la décision de libérer son client est « totalement justifiée »
« Un sentiment de trahison », c’est en ces termes que la mère de Marin a évoqué la réaction de son fils après la libération conditionnelle de son agresseur. Le 11 novembre 2016, le jeune homme de 20 ans avait défendu un couple pris à partie car il s’embrassait​ dans la rue à Lyon. En retour, il avait été tabassé par un jeune homme, condamné en mai 2018 à sept ans et demi de prison.
Sur BFM Lyon​, la mère de Marin a réagi : « On estime que quelqu’un qui a pris sept ans et demi pour avoir tenté de tuer quelqu’un d’autre peut sortir à la moitié de la peine. C’est extrêmement choquant […]. J’entends le besoin de réinsertion. Je pense qu’il faut quand même "payer sa dette à la société". »
Auprès du Parisien, Anne Guillemaut, l’avocate de l’agresseur de Marin, 17 ans au moment des faits, a jugé que la décision était « totalement justifiée » car son client remplit toutes les conditions. « Il a suivi une formation, il a un projet professionnel, et il n’a pas de problèmes de discipline, et ses permissions de sortie se sont bien passées… »

Un peu de violon ? Attention aux âmes sensibles, pour ce pauvre algérien condamné puis libéré de suite puis re-présenté devant le tribunal pour les mêmes faits.
"Le choix vous appartient de vous insérer légalement en France. Si ce n’est pas le cas, alors vous partirez soit en prison, soit dans votre pays. Les gens comme vous qui sont en situation irrégulière et qui ont traversé la Méditerranée ne finissent pas tous devant un tribunal correctionnel, loin de là. »
https://actu.fr/pays-de-la-loire/nantes_44109/nantes-tribunal-juge-les-cambriolages-da-cote_33463203.html

C'est phénoménal. 🙃

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"Douce France, doux pays de mon enfance" ... donc, les migrants afwicains n'étaient pas confinés puisqu'ils s'étaient scindés en deux équipes pour disputer un match de foot, pas plus que les Tchétchènes qui se baladaient en meute vengeresse.

A noter que papy Mougeot fut verbalisé pour avoir promené son chien à plus d'un km de sa résidence.

Aube : Une cinquantaine de Tchétchènes font une expédition punitive dans un foyer de migrants.

[...]les assaillants étaient déchaînés et armés de bâtons, de battes de baseball, de barres de fer et de couteau.
Des coups ont été échangés entre Tchétchènes et Africains.

L’expédition punitive ferait suite à un événement survenu la veille et qui avait poussé la direction du foyer à employer les deux agents de sécurité. La tension était palpable depuis lors. La veille de ces violences, un enfant avait fait irruption sur un terrain de football durant un match entre migrants africains. Il avait été poussé à quitter les lieux.

Plusieurs rixes ont eu lieu.

Son père, d’origine Tchétchène, avait demandé du renfort à ses amis et plusieurs rixes avaient éclaté sur place jeudi et vendredi, jusqu’à cette expédition punitive en pleine nuit.

https://actu17.fr/aube-une-cinquantaine-de-tchetchenes-font-une-expedition-punitive-dans-un-foyer-de-migrants/

    [supprimé] Des coups ont été échangés entre Tchétchènes et Africains.

    Comme c'est triste, ces gens qui n'arrivent pas à vivre ensemble, même sur un sol qui ne leur appartient pas.

      tiresias Tant qu'à casser tout le mobilier en se battant, autant le faire dans le bar du coin que chez soi!

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      tiresias

      Pas un seul de nos éminents immigrationnistes ne s'est manifesté pour dénoncer ces actes odieux. Inquiétant.

      Impossible d'arrêter un awfricain sans qu'il s'excite.
      https://www.sudouest.fr/2020/05/08/video-bordeaux-un-cycliste-percute-par-un-vehicule-de-la-police-municipale-7468724-2780.php
      Après ils viennent chialer qu'on leur a mis "la pression" (entendez: technique de maîtrise d'individu récalcitrant consistant à peser sur lui au moyen de la masse corporelle des agents préposés à cette fonction).

        Les fait divers au printemps donnent toujours une impression de contre temps.

        saint-louis
        Seulement 10 mois ferme (donc pas de prison en réalité) pour un cambrioleur multirécidiviste étranger qui vient de piquer 60k€.

        Pendant ce temps un flic vient d'écoper de 4 années fermes pour avoir simplement emmené un afghan à 30km de la ville après que celui-ci avait craché contre les passants et insulté les policiers, parce que le policier ne pouvait pas l'arrêter ni le présenter à la justice du fait des consignes.

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          Pas de véhicule de police dans les parages, c'est ballot pour les avocats du jeune cascadeur, à moins qu'ils ne lancent un appel à témoins au cas où des uniformes bleus auraient vaguement été repérés dans les alentours.

          Rodéos sauvages à Vaulx-en-Velin : un adolescent de 14 ans grièvement blessé en percutant une voiture
          https://actu17.fr/rodeos-sauvages-a-vaulx-en-velin-un-adolescent-de-14-ans-grievement-blesse-en-percutant-une-voiture/

            france2100

            Les flics ont eu tort de s'en prendre à ce clando cracheur ....... Ils savent qu'ils sont filmés en permanence, qu'ils ne seront pas défendus par leur hiérarchie DONC ils ne doivent intervenir que pour leur propre survie en cas d'agression !!
            Qu'ils laissent la population se démerder avec leurs emmerdes

              @liberté#4308211 saint-louis

              Je me demande ce qu'en pense BHL ! ! !

              Faites un geste pour la planète, arrêtez de vous demander ce qu'en pense BHL.
              Moins on donnera d'importance à ces crétins, plus vite ils retourneront dans le néant.

              Ejainiste

              DONC ils ne doivent intervenir que pour leur propre survie en cas d'agression !!

              Ca aussi c'est puni par les juges : en France le droit à la légitime défense n'est qu'une farce.

              La justice ne reconnaît aux Français que le droit d'être victimes, avec promesse d'apitoiements médiatiques entre deux divertissements.

                france2100 Ca aussi c'est puni par les juges : en France le droit à la légitime défense n'est qu'une farce.

                Je le sais bien ... mais dans ce cas ils auraient (peut être) la clémence du juge (s'il n'est pas trop pourri)

                C'est comme un dîner de cons qui aurait duré cinq ans. Cinq années pendant lesquelles un vigneron de champagne a été le jouet de cinq hommes qui lui ont soutiré près de 135 000 euros, dont des milliers de bouteilles. Plus qu'une escroquerie : une mystification. Comme si deux mauvaises étoiles s'étaient trouvées alignées, avec d'un côté un homme isolé, souffrant de « délires mégalomaniaques », et de l'autre un policier et ses complices qui ont nourri ses fantasmes pour mieux abuser de lui.

                Au terme d'un improbable engrenage, ils sont parvenus à faire croire au viticulteur qu'il était devenu pêle-mêle le rédacteur de discours à l'ONU, l'allié privilégié de Barack Obama ou le représentant secret de la famille royale marocaine en France. Sorti de cette emprise, Hugues B. a fini par retrouver sa lucidité, et a porté plainte en 2012. Dans le cadre d'une instruction ouverte à Nanterre (Hauts-de-Seine) notamment pour abus de faiblesse et extorsion, ses cinq tourmenteurs ont été mis en examen et comparaîtront prochainement devant le tribunal correctionnel.

                Au terme des investigations, les hommes de la PJ des Hauts-de-Seine ont considéré qu'Ahmed Z. était la cheville ouvrière de ce curieux attelage. En poste au SPHP, le service de protection des hautes personnalités, le policier a en outre été visé à partir de 2014 par une enquête administrative diligentée par l'IGPN, la police des polices, au terme de laquelle il a été révoqué.

                «Je suis quelqu'un de crédule»
                Ahmed Z. est le premier dont la route a croisé celle d'Hugues B., en 2007. Alors âgé de 31 ans, le jeune vigneron a pris la tête de la maison familiale de champagne, dont il est notamment le commercial. Producteur et négociant, son domaine élabore 450 000 bouteilles par an. Les parents d'Hugues B., souffrant de diverses pathologies, lui ont laissé les rênes de l'entreprise. Son frère, interné en psychiatrie, est aux abonnés absents.

                LIRE AUSSI > L’escroc voulait surfer sur le déconfinement

                D'après Hugues, sa famille appartenait aux Témoins de Jéhovah, dont il a fait partie « de [sa] naissance à [sa] majorité, décrit-il lorsqu'il est auditionné en 2014. J'ai cru en tout ce que l'on m'a dit jusqu'à mes 22 ans. Je suis quelqu'un de crédule. » Une brèche dans laquelle s'engouffre très vite Ahmed Z…

                Les deux hommes ont été présentés par un ami commun : Féfé, lui aussi policier. A l'époque, Ahmed Z. est encore affecté aux renseignements généraux de la Préfecture de police (RGPP) de Paris. Une précision d'importance, tant Hugues B. apparaît fasciné par ce monde de l'ombre, qui lui dévoile vite ses coulisses par l'intermédiaire de son nouvel ami Ahmed.

                «Je voulais l'aider»
                Ce dernier coche toutes les cases du parfait honnête homme. Pour preuve, il est même président d'une association humanitaire. Cartables sans frontières (CSF) a pour objectif de faire parvenir du matériel scolaire aux enfants pauvres, particulièrement dans les pays du Maghreb. Elle compte plusieurs fonctionnaires de police parmi ses membres.

                Au fil des mois, Ahmed et Hugues deviennent inséparables. Ils s'appellent au minimum deux à trois fois par jour. « Hugues B. n'a alors plus que de très rares contacts avec sa famille, évoque Me Marie Dosé, son avocate. Il était socialement très isolé. » « Son père est alcoolique, complète Ahmed Z. lorsqu'il est entendu en 2016 par l'IGPN. Son frère le battait. Hugues était constamment rabaissé. Je comprenais qu'il avait besoin d'un soutien fort. Je voulais l'aider. »

                Le cousin de Ben allah ?

                GRENOBLE - Deux personnes qui squattaient un logement ont tenté d’échapper à un contrôle de police en sautant sur le balcon du dessous
                Plusieurs enquêtes ont été ouvertes à Grenoble après la chute mortelle d’un homme du 13e étage d’un HLM, qui a entraîné la découverte d’un pistolet-mitrailleur et l’arrestation d’un comparse suspecté dans une affaire de meurtre datant de l’été dernier, a-t-on appris samedi de source judiciaire.
                Jeudi midi, deux personnes qui squattaient un logement à Grenoble ont tenté d’échapper à un contrôle de police, venue vérifier à la demande du bailleur social Grenoble Habitat si l’appartement était occupé illégalement, en sautant sur le balcon du dessous. L’un des deux hommes a chuté du 13e étage et s’est tué.
                Cet homme de 36 ans, était connu de la police, de la gendarmerie et de la justice. Les pompiers et le Samu, appelés, n’ont rien pu faire pour lui, avaient indiqué les secours. Son autopsie aura lieu lundi, a précisé le parquet. Le deuxième homme avait, lui, « réussi à sauter sur le balcon de l’appartement situé juste en dessous, au 12e étage », selon la police. Il a été interpellé et placé en garde à vue.

                Sur le balcon a été retrouvé « un sac contenant un pistolet mitrailleur Scorpion chargé de munitions 7.65 ainsi qu’un couteau à cran d’arrêt », a précisé le procureur de la République de Grenoble Eric Vaillant. « L’enquête sur les causes de la mort, la violation de domicile et la détention d’une arme de catégorie A a été confiée à l’antenne de police judiciaire de Grenoble », a ajouté le procureur. Le survivant, âgé de 21 ans, « nie la propriété » du pistolet-mitrailleur.
                Un juge d’instruction a par ailleurs demandé à l’entendre dans le cadre d’une enquête totalement distincte menée sur la mort d’un homme de 40 ans le 17 août 2019 de plusieurs coups de couteau dans le quartier populaire du Village Olympique. Et samedi, il a été « mis en examen pour le meurtre d’Olivier Mambakasa [nom de la victime] », a indiqué le procureur, précisant qu’il « niait les faits ». Le prévenu a été placé en détention provisoire, « il a demandé un délai pour préparer un débat contradictoire qui aura lieu dans les quatre jours », a souligné le magistrat.

                Encore une bavure policière

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                En Francie, l'avocat du malfrat porterait plainte contre la police pour "torture et actes de barbarie."

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                Rassurez-vous, s'il fut quelque peu surpris par son arrestation, le migrant se porte bien.

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                Cherbourg : un migrant afghan en garde à vue pour homicide volontaire sur le président de l'association Itinérance.

                Le drame a eu lieu ce mardi 12 mai au domicile de la victime, à Bretteville-en-Saire ( 50 ) :
                Jean Dussine, président de l'association cherbourgeoise d'aide aux migrants Itinérance, serait mort à la suite de "coups de barre de fer"
                Un migrant afghan est en garde à vue pour "meurtre".

                [...] D'après des témoignages, "Jean Dussine dormait quand l'individu, un migrant afghan d'à peine 20 ans, s'en est pris à lui à coup de barre de fer. Il n'a pu être ranimé"
                https://france3-regions.francetvinfo.fr/normandie/manche/cherbourg-cotentin/cherbourg-migrant-afghan-garde-vue-homicide-president-association-itinerances-1827866.html