saint-louis Non je regrette. A lire une fois de plus tout tout l'enrobage particulièrement délicat et surréaliste de votre énième intervention à mon encontre, je vais m'abstenir d'un dialogue, car ce n'est pas ma conception de l'usage d'un forum.
Votre conception de l'usage d'un forum, nous l'éprouvons hélas depuis belle lurette. Elle se résume en du déclaratif quelque peu amphigourique, déclamé dans un style qui de toute évidence requiert à son chevet toute l'attention de son producteur au détriment d'une pertinence (avec un e) intellectuelle.
Depuis le début de cet épisode sanitaire, vous vous répandez en absurdités sans jamais avoir l'honnêteté de reconnaître si ce n'est une erreur du moins une incapacité à analyse. Ainsi vous nous avez seriné durant des mois que le masque ne servait à rien, puis ce fut le tour du confinement d'être déclassé au rayon des inutiles, puis évidemment le vaccin. On ne peut rien vous opposer si ce n'est que de toute évidence vos seuls rapports avec l'analyse statistique se limitent à votre usage du loto national et des déconvenues qu'engendre chaque tirage. Bref, vous êtes né ainsi, braillard inconséquent.
Mais voilà que désormais, ayant sans doute fait le tour des sujets à braiement, vous vous attaquez, avec les moyens déjà constatés, au chiffrage des cas positifs.
saint-louis Les médias continuent à très légèrement intoxiquer la population dans le registre du n'importe quoi.
""Le nombre de cas positif repart à la hausse."" lit-on.
Une fraction de la population se présente au test, une partie est testée positive et puis c'est tout. 🤣
Notons d'abord ce smiley ponctuant, trait de similarité qui vous rattache à un sous-groupe très unifié quant à sa réputation analytique. Mais passons, quand on n'est pas certain de ses mots, avec raison, on a le droit à l'illustration.
Donc si on vous lit bien, ces imbéciles qui écrivent les journaux (on dit merdias dans votre secte, non ?) ne comprendraient pas ce que vous vous comprenez, à savoir la notion terriblement exigeante (avec un a) du taux de positivité.
Qui serait, toujours à vous lire, décorrélé du nombre de tests effectués. Bien bien.
Sachez, cher internaute, non-politiquement-correct, que le taux de positivité est lui-même en augmentation, alors que le nombre de testés recule singulièrement par rapport à l'afflux inhérent aux fêtes, c'est ce qu'on appelle d'ailleurs le taux de dépistage.
Un analyse fine, de toute évidence hors de votre portée, montre donc deux choses :
- d'une part le retour aux pratiques "normales'' de testing s'est opéré dès les fêtes terminées.
- d'autre part, malgré le recul du taux de dépistage (-39%), il appert que le nombre de cas est en augmentation. Ce qui peut laisser supposer (mathématiquement) qu'avec le même taux de dépistage que celui en œuvre lors des semaines précédentes, le nombre de cas serait encore accru, les asymptomatiques étant forcément actuellement davantage dans l'angle mort.
Je résume, conscient que plusieurs consécutions successives ne sont pas votre habitude : on teste moins et on trouve plus. Si on testait autant qu'avant, on trouverait beaucoup plus. Y a bon?
Faites donc votre propre psychanalyse d'abord avant de tenter de faire celle des autres, voilà ce que je peux vous dire.
Il ne m'a pas semblé procéder à la vôtre. Juste constater que le tènement d'un braillard, c'est toujours l'ignorance.
La vôtre se veut déclamée, voilà tout. C'est un peu Pinder qui se voudrait Pindare.
Si une autre personne ne comprend pas ce que j'ai dit sur l'usage scandaleux mais constant du chiffre brut des réponses positives aux tests, je lui répondrai mais ça ne me semble pas bien difficile.
Illogisme dans la proposition, relisez. Qu'est ce qui n'est pas difficile ? De ne pas comprendre vos égarements ou qu'une telle personne existe ?Vous bâtissez de travers, ce qui serait même un comble dans votre confrérie.