Un article sur le docteur Montagnier:
La philosophie qui règne en science aujourd’hui, connue sous le nom du réductionnisme, présuppose que la vie est le résultat de molécules non vivantes. Composez un mélange adéquat d’acides aminés et d’autres ingrédients, placez-le dans des conditions propices, et spontanément des formes de vie primitive jailliront à partir desquelles des formes de vie plus développé pourront évoluer…
Une telle hypothèse ne s’est jamais démontrée et toutes les expériences visant à la prouver ont échoué. Ce qu’on présente comme la « création » d’une forme de vie primitive, ou des préfigurations de la vie tel que l’ADN ou un virus, nécessite toujours à l’origine une autre forme de vie. Jusqu’ici, et peut-être heureusement, personne n’a pu métamorphoser des molécules mortes en matière vivante.
A l’opposé de cette vision réductionniste, s’est affirmé le vitalisme, une théorie qui affirme que les organismes vivants possèdent une force vitale, un principe de vie, séparé de la matière qui les compose. La vie serait une combinaison de molécules organiques dotées de cette force vitale. Cependant, aucune expérience n’a pu identifier cette force vitale ou démontrer sa présence dans le vivant, ou son absence dans la matière non-vivante. Ainsi, le mystère de la vie demeure presque entier.
Le Professeur Luc Montagnier et ses collaborateurs rapportent qu’il a été observé que certaines séquences d’ADN des bactéries et des virus peuvent induire des ondes électromagnétiques de basse fréquence dans les hautes dilutions aqueuses. Ce phénomène semble être provoqué par le fond électromagnétique ambiant de très basse fréquence.
Mieux encore, ces ondes seraient même capables de transformer certains nucléotides servant de base à l’ADN, en ADN bactérien nouveau, rien que par le biais de structures particulières de l’eau.
En examinant l’interaction complexe entre le rayonnement émis par des formes de vie, le rayonnement atmosphérique et le rayonnement cosmique, les travaux de Montagnier ont des implications révolutionnaires pour la biologie et notre façon de concevoir l’univers.
Tout démarra il y a dix ans quand Luc Montagnier étudia l’étrange comportement d’une petite bactérie qu’on trouve souvent en compagnie du VIH, le Mycoplasma pirum. Comme le HIV, cette bactérie adore et dévore les cellules blanches du sang humain, les lymphocytes.
Initialement, Montagnier tenta, à l’aide de filtres de différentes tailles, de séparer la bactérie, d’une taille d’environ 300 nm, des séquences du virus dont la taille est de 120 nm. En filtrant une culture de lymphocytes infectés par la bactérie, Montagnier arriva à obtenir un liquide stérile. Une vérification rigoureuse démontra qu’aucune trace ne resta de la bactérie Mycoplasma pirum.
Les expériences récentes que nous allons décrire ici, viennent de bousculer quelques certitudes des théories anciennes. Sans nous fournir des réponses définitives, elles élargiront certainement vos horizons. Ces expériences ont été menées par le Professeur Luc Montagnier, le biologiste virologue co-lauréat du Prix Nobel avec Françoise Barré-Sinoussi pour leur découverte en 1983 du virus du HIV responsable du SIDA.
J'aimerais avoir l'avis d'un spécialiste ici...