Poufpouf
Encore une fois, même si on n'était qu'un milliard sur terre, avec la consommation d'un français moyen, nous serions confronté au même mur avec une plus longue échéance, mais le mur serait là quand même. Au delà de l'aspect malthusien de cette affaire, ce sont plutôt nos intérêts directs et notre confort actuel qu'il faudrait remettre en question dès aujourd'hui.
Mais soyons francs, personne n'est prêt à ça, que ce soit pour nous directement ou pour nos enfants, c'est contre intuitif de réduire sciemment son confort de vie et celui de ses proches (à tous les niveaux, transport, nourriture, santé, sécurité, habitat, etc...).
C'est notre grand paradoxe, nous sacrifions sciemment notre écosystème pour jouir à court terme et prendre un risque immense à long terme.