Ils se voudraient comme celui-ci, et ils sont toujours comme celui-là.
Permettez-moi de vous présenter Valentin Marcone, l'homme qui mobilise trois cents gendarmes dont soixante d'élite, pour éviter qu'il ne poursuive son parcours meurtrier en visant d'autres têtes d'autres désarmés.
Une nouvelle fois, un déficient psychologique, dont les plus grandes heures se sont déroulées au stand de tir "sportif", car tenir un flingue est un sport, est passé à l'action.
Douze armes planquées dans le sweet home, 3300 munitions, un physique irréfragable de guérilléro, croisement céleste entre Achille et Agamemnon, une carrière de vainqueur.
Et déjà deux types allongés, deux types qui sciaient des arbres, et accessoirement en ont vendus à un type comme moi, loin de la destinée de ce combattant suprême.
Je n'ai jamais rencontré un de ces "tireurs sportifs" qui ne soit pas au pire un déficient mental, au mieux un allégé du cortex.
A quand une interdiction pure et simple de ces pratiques de refoulés ?