cheshire-cat Une erreur fondamentale qui consiste à considérer que le nombre d'emplois est une constante de l'économie.
En travaillant, un travailleur non seulement gagne sa vie mais enrichit son entreprise qui pourra ainsi créer d'autres emplois.
Moi qui pensais bêtement qu'interviendrait à un moment dans l'équation, les ressources, l'énergie et les clients ... Parce que si embaucher suffisait à enrichir son entreprise, il n'y aurait pas de licenciements massifs en France (ou ailleurs) ...
cheshire-cat Il peut aussi permettre à d'autres de travailler en assurant divers services mal considérés mais indispensables.
Dans quelles conditions travailleraient les cadres sans femmes de ménage immigrées, légales ou non ?
Les travailleurs immigrés sont donc utiles à la lutte contre le le chômage. Et il n'y a pas de travail sans chômage, le vrai plein emploi n'existant pas. Il faut donc qu'il y ait aussi des chômeurs immigrés.
La belle pensée humaniste que voilà, dégoulinante de gauchitude décomplexée (dans le style de Hugo à n'en point douté) ... Car oui une personne issue de l'immigration ne se voit attribuée avant tout que les métiers de l'entretien et de ramassage des ordures ... Comment pourrait-il en être autrement de ces personnes estimées "sous-qualifiées".
Après derrière l'incompréhension totale se dégage l'incurie de ce raisonnement, pensant qu'à aucun moment un calcul incluant les actifs qui doivent déjà pourvoir aux pensions des retraités (de plus en plus nombreux) n'a raison d'être, alors que pourtant il est évident que plus on tire sur un élastique, plus le risque est grand qu'il craque ... Et que se ne sont pas des actifs au SMIC peu ou pas solvables qui vont résoudre l'équation ...