Autant que j'aie compris, le processus fait l'objet d'une étude dans le but de favoriser les voyages spatiaux au long cours. L'ADN se dégraderait moins durant la phase d'hibernation, si bien que les astronautes seraient à l'abri des rayons cosmiques. Hélas, on ne sait pas encore quelle mutation déclenche ce mécanisme. A noter quand même le fait que les squelettes fossiles retrouvés présentaient des traces de rachitisme, sans doute en lien avec la malnutrition.