jabar Oui, bon, moi je sais pas. J'ai battu des records niveaux conquêtes, c'était parfois excitant, parfois entrecoupé de moments de lucidité sur le caractère vain/sale de cette course, des moments ou l'on se dit mais pourquoi ai-je fait ça. Les anglophones ont une expression pour ça, âmes sensibles cachez vos yeux: the post-nut clarity.
Comme dit haaa. Pour moi rien ne vaut le confort de l'habitude avec quelqu'un, se connaître parfaitement, savoir que quand on se lève le matin, c'est pour sa famille, just a fine life. Enfin, je crois que tu as aussi passé cette phase de coureur me semble ?
Oui oui, je suis calé, et je n'ai jamais eu les moyens d'être un coureur.
Avec le net j'ai eu des histoires avec des nanas qui ne m'auraient même pas donné l'heure dans la rue, c'est tout, je ne vais pas cracher dans la soupe 😉
En virtuel ou ailleurs, ce qui est vain, ce sont les conquêtes effrénées, que ton terrain de chasse soit les discothèques, les salons du livres ou tinder (que je n'ai pas connu, et heureusement, avec un peu de bagou il y a moyen de faire diversion).