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  • Message #9
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Maryam Pougetoux, porte-parole de l’UNEF (Union nationale des étudiants de France)
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Selon une enquête du journal Le Monde, l'UNEF a ouvert en 2015 une salle de prière lors d’un collectif national à la demande de quelques militants musulmans.

Concernant le port du voile, l’UNEF, syndicat historiquement féministe et laïc, se prononce en 2013 contre ce port dans l'enceinte de l'université. Il opère par la suite un volte-face, à mesure que son nombre d'adhérents chute et que des accords se nouent avec les "Étudiants musulmans de France" lors de plusieurs élections étudiantes.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Union_nationale_des_%C3%A9tudiants_de_France

    [supprimé]

    Quand j'étais étudiant (2000-2003) l'UNEF c'était surtout des crasseuses petites bourgeoises. Aujourd'hui visiblement c'est devenu un repaire islamique.

        cadmos
        La Nation n'a pas à financer des élucubrations qui ne sont pas de son intérêt. Ne me semble pas que les études post-coloniales, études de genre LGBT et autre élucubrations racistes et progressistes soient dans l’intérêt de la France.
        On peut dire que les présidents d'université qui affectent des ressources disproportionnées aux recherches sociales militantes anti françaises ont échoués dans l'affectation des ressources dans l'intérêt de la France. Ils doivent être remplacés et leurs erreurs corrigées en fermant ces départements surnuméraires et nuisibles.

            La Nation n'a pas à nourrir les rats qui rongent sa coque.

            À l’université, différents courants dits progressistes peuvent agréger à eux des pro-islamistes de gauche qui vont puiser là, matière à détester l’Occident.
            Au milieu de cette bataille médiatique, une majorité silencieuse. Et quelques langues qui se délient. «Il ne faut pas se leurrer sur certains discours universitaires proches du Parti des indigènes de la République (PIR) ou du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF)», estime Annie Fourcaut, spécialiste de l’histoire des villes et des banlieues. «Une géographie radicale venue des États-Unis, qui réduit l’évolution des villes à l’exclusion des classes populaires, des articles où le militantisme remplace l’analyse scientifique… Voilà plusieurs années que j’observe les dérives de Métropolitiques (revue en ligne créée en 2010 autour des questions urbaines). J’ai demandé que mon nom soit retiré du Conseil scientifique. D’autres chercheurs s’en sont éloignés.» Si Annie Fourcaut est libre de sa parole, c’est parce qu’elle est retraitée. Ce n’est pas le cas de tous ses «jeunes collègues», avec qui l’ancienne professeur d’histoire contemporaine reste en contact. Pour suivre le débat intellectuel de près, elle constate «une approche compassionnelle aux malheurs des immigrés» et des dérives en sociologie, dans le domaine de l’urbanisme, «pas encore en histoire où les archives ne permettent pas de raconter n’importe quoi». «L’évolution des métropoles devient une lutte entre le Bien et le Mal» résume-t-elle. Elle décrit «quelques idéologues influents», mais surtout «beaucoup de jeunes chercheurs sensibles à ce nouveau conformisme et qui veulent obtenir un poste, s’insérer dans des réseaux ou être publiés». Et dans les instances de direction des universités, un «pas de vague» de rigueur, lié «à la peur de voir des amphis envahis par des groupuscules violents ou à l’empathie pour les victimes supposées des discriminations».
            Béatrice préfère garder l’anonymat. Après avoir travaillé sur les publications de femmes à la Renaissance, cette linguiste s’est tournée vers les études de genre, qui émergent en France dans les années 2000. «C’était plus contemporain. J’étais emballée. Mais aujourd’hui, j’ai l’impression de m’autocensurer, comme beaucoup de chercheurs. Je n’ai pas envie qu’on m’accuse de faire le jeu de l’extrême droite», résume-t-elle.
            https://www.lefigaro.fr/actualite-france/comment-l-islamo-gauchisme-gangrene-les-universites-20210211

              katou Si Annie Fourcaut est libre de sa parole, c’est parce qu’elle est retraitée.

              La vérité sort de la bouche des enfants, ou des retraités.

                  [supprimé] La vérité sort de la bouche des enfants, ou des retraités.

                  Ou ceux qui ont le courage d'alerter sachant qu'ils risquent d'être mis au ban.

                    Va-t-elle rester longtemps en poste, Frédérique, après la bronca qu'elle lève ?

                    1) Nicolas Offenstadt, histotien, maître de conférences à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, membre de l'Institut d'histoire moderne et contemporaine.

                    2) Arnaud Saint-Martin, sociologue chargé de recherches au CNRS :

                    3) LDH de l'Ecole des hautes études en sciences sociales : Diffamation à l’encontre d’une profession toute entière ? La Ministre doit partir. Communiqué de la LDH EHESS

                    On a rarement vu un tel boxon.

                      cadmos histotien,

                      Un histotien, des histotiens.

                        Syndrome de la pionne en retraite... elle s'emmerde.

                        Mamie liloune, sors de ce corps 🤣

                        filochard La Nation n'a pas à financer des élucubrations qui ne sont pas de son intérêt.

                        Chuis assez d'acccord avec toi... pour une fois. 👍️

                          Autant prendre ça à la rigolade 😆
                          D'un maitre de conférence Uni de Nantes.

                          • [supprimé]

                          • Message #23
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                          cadmos

                          Je ne sais pas si vous êtes au courant mais dans un peu plus d'un an il y a une élection majeure dans ce pays . Pour pouvoir espérer l'emporter Macron n'a qu'une solution , se retrouver face à MLP au second tour .
                          Il applique la même tactique que l'immonde Mitterrand , faire monter le RN par tous les moyens . Son ministre de l'intérieur va dissoudre un groupuscule identitaire ( dont quasiment personne n'avait entendu parler à moins de regarder Hanouna ). La ministre des universités vient dire que l'islamo- gauchisme gangrène les universités .
                          Dans six mois le ministre des transports viendra nous dire que les premiers fraudeurs dans le train sont les noirs et les arabes .
                          Politique de minable mise en oeuvre par des minables .

                              cadmos

                              Eric Fassin

                              Sociologue .. à l'université Paris VIII - Saint-Denis .. spécialisé dans les questions de genre ... et de race.
                              ça commence bien
                              Ne manque aucun poncifs progressistes made in USA: racisme d'état, intersectionnalité, théorie du genre, etc..
                              était à l’infâme marche contre l'islamophobie,
                              Un islamo-gauchiste pur jus quoi.

                                Il faut cependant noter que l'usage du terme "islamogauchisme" pourrait être un sujet d'études en soi.

                                Quelle est sa fréquence ? qui l'utilise ? comment se diffuse-t-il ? à quelles fins ?

                                  Mais le terme de fascisme lui serait scientifique ?
                                  Parce que clairement, fasciste est utilisé à toutes les sauces.

                                  De qui se moque t'on ?
                                  Je trouve justement que ce terme d'islamogauchisme décrit bien l'attitude de certains gauchistes qui protègent l'islamisme, et se disent de gauche.

                                  Et puis, tant que l'on joue avec les mots, il ne se passe pas grand chose.

                                    cheshire-cat Il faut cependant noter que l'usage du terme "islamogauchisme" pourrait être un sujet d'études en soi.

                                    Quelle est sa fréquence ? qui l'utilise ? comment se diffuse-t-il ? à quelles fins ?

                                    Comme le dit Zemmour, Islamogauchisme est un des très rare terme politique qui n'a pas été inventé par la gauche. Ils ne supportent pas.
                                    On savait que le CNRS n'était pas la structure appropriée pour faire la chasse à cette plaie: ils sont eux même infestés.
                                    Islamogauchisme est très bien défini: c'est des gauchistes bourgeois privés de peuple car celui-ci est parti au RN et est nationalistes, mais qui se sont trouvés un peuple de substitution, des nouveau damnés de la terre, en la personne des immigrés. Ils croient qu'ils vont pouvoir les manipuler, faire la révolution et en récolter les fruits, sans comprendre qu'ils n'auraient aucune chance d'y survivre et seraient les premiers à se faire massacrer par les islamistes.
                                    Complètement fourvoyés mais ce n'est pas la première fois qu'on voit des gauchistes travailler pour des idéologies qui semblaient opposées à la leur. Exemple: la collaboration sous Vichy.
                                    Et aujourd'hui c'est Mélenchon qui drague les islamistes pour faire sa révolution de pacotille, et dans une moindre mesure Macron pour acheter la paix.