[supprimé]
Disons qu'ils passent clairement à côté d'une partie intéressante de leur vie; pour des populations, forcé de l'admettre, particulièrement ingrates. Comme si, hors covid, on ne payait pas déjà le prix de l'existence de ces régiments de beaufs. Ceux-là même qui t'expliquent, ci et là, que le covid et ce qui l'accompagne, ce n'est pas non plus aussi terrible qu'une guerre pour les jeunes. Guerre qu'il n'ont, pour l'essentiel, pas connu...
C'est plus particulièrement difficile socialement et psychologiquement pour ceux qui se retrouvent dans des placards à balai, totalement seuls. C'est aussi économiquement très difficile. Sans parler de la qualité des études...
Incontestablement, les conséquences sur notre existence, notre quotidien, sont bien plus importantes que pour ceux qui ne vivaient déjà qu'au travers de sorties dans des centres commerciaux et de la décharge de poncifs sur le web.
[supprimé] Quant aux vieux, rien qui change : tout leur est dû.
Et comme ils votent, on les écoute.
Tout est dit.
Récemment j'ai brièvement vu les réactions à la possibilité d'une prise de mesures, comme promotionnées par certains spécialistes, visant plus particulièrement (à protéger) les populations âgées. Les réactions des concernés - représentatives ou pas de l'ensemble - étaient juste, globalement, parfaitement stupéfiantes et consternantes. Il y a des claques qui se perdent. Que de nombrilisme, d'égoïsme, de volonté de prise en otage de la société..