katou C'est certain que le suicide de la tante est bizarre.

Marie-France Pisier, “choquée” par l’omerta autour des agissements d’Olivier Duhamel
“Dès qu’elle a su pour Olivier, Marie-France a parlé à tout le monde. Elle voulait lui faire la peau”, explique Camille Kouchner

https://www.femmeactuelle.fr/actu/news-actu/olivier-duhamel-le-suicide-de-sa-belle-soeur-marie-france-pisier-est-il-lie-a-laffaire-2106426

    690 “Dès qu’elle a su pour Olivier, Marie-France a parlé à tout le monde. Elle voulait lui faire la peau”, explique Camille Kouchner

    Mais elle n'en a pas fait part à le presse.
    Le "tout le monde" reste le petit milieu bobo qui se tait.

      • [supprimé]

      James

      Un peu comme la seconde famille de Mittrrand , les journalistes disaient tout le monde savait . Ben non, moi je ne savais pas comme des millions de français . Seuls quelques initiés savaient .

      James Mais elle n'en a pas fait part à le presse.

      Dans ces affaires, on a souvent des témoignages indirects. Que pourraient en faire la presse ou la justice ?

        cheshire-cat Que pourraient en faire la presse ou la justice ?

        Enquêter.
        C'est leur boulot. Enfin, il me semble.

          James
          Oui mais les témoins "l'homme qui a vu l'homme qui a vu l'homme qui a vu l'ours", ce n'est pas très exploitable, d'autant plus qu'il y a des risques à accuser quelqu'un d'un crime sans avoir des preuves à disposition.
          Il vaut mieux avoir des plaintes des victimes, et des documents, ou encore des témoins proches.
          Et encore, même comme ça ...

            cheshire-cat

            Pas facile en effet.
            Encore faut il vouloir le faire.

            Reste que "tout le monde" savait, mais pas ceux qu'il fallait.
            Ou que ceux qu'il fallait ne voulaient pas.

            Même son père le savait, mais il n'a rien fait. Tout cela est lamentable.

            J'ai pris ça au sérieux assez vite, la demi-sœur des victimes qui l'a entendu d'elles même, c'est un témoin de première main.
            Une difficulté est que souvent les victimes ne veulent pas en parler, et moins encore mettre ça sur la place publique.

            Cela dit, dans cette famille//////Nouvelle vulgarité, ça ne va pas tarder à tomber., ce n'était pas très convenable, il faut l'admettre, mais ça restait dans la famille.

            katou

            Bien sur ils savaient la preuve des photos des fesses, des seins, de ses beaux-enfants, de ses invités, et tout était affiché sur les murs de la maison.
            VIDEO Olivier Duhamel : ces clichés très inappropriés de ses beaux-enfants qu'il avait à son domicile
            https://www.voici.fr/news-people/actu-people/video-olivier-duhamel-ces-cliches-tres-inappropries-de-ses-beaux-enfants-quil-avait-a-son-domicile-694279?utm_term=Autofeed&utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1609931200

            Il y a plusieurs choses qui me gênent dans cette affaire :
            1- On parle d'inceste, alors qu'il n'y a aucun lien de parenté entre O. Duhamel et la présumée victime. Beau-père n'est pas un lien de parenté.
            2- La fille Kouchner se réveille 30 ans plus tard et pour dénoncer un fait dont elle n'est ni la victime, ni même la témoin directe !
            3- La présumée victime, jeune homme de 14 ans à l'époque des faits, ne semblait pas garder un souvenir traumatisant des faits, puisqu'il n'a jamais envisager ni de révéler l'affaire, ni, encore moins, de la porter en justice.
            Il est alors à craindre, hélas, que cette opération soit menée avec des intentions plus mercantiles que prétendûment juste. A l'image de ce qu'on a déjà vu, avec une écrivaine sur le déclin et n'ayant jamais percé, gagne le Jackpot en relatant sa relation amoureuse avec G. Matznef... Elle avait, elle aussi, 14 ans et personne ne la forçait à rejoindre son amant, tous les jours ou presque ! Mais voilà, les temps changent, les moeurs évoluent (et pas toujours dans le bon sens) et ce qui apparaissait anodin dans les années 1970, permet aujourd'hui de livrer quiconque en pâture aux chiens. En l'occurence, Mme Springora fait coup double, puisqu'elle peut, ainsi, se venger de son amant au talent d'écrivain ô combien meilleur que le sien...
            En attendant, M. Duhamel est l'objet d'un harcèlement ignoble et les quelques malheureux, qui tentent désespérément de le soutenir, sont voués aux gémonies. Il ne peut même pas se défendre, il est cloué au pilori médiatique.
            Quelle époque... Vive les Tartuffes !

              Moliere21 En attendant, M. Duhamel est l'objet d'un harcèlement ignoble et les quelques malheureux, qui tentent désespérément de le soutenir, sont voués aux gémonies.

              Et à la fois, on ne voit pas de démentis.

                • [supprimé]

                Moliere21 On parle d'inceste, alors qu'il n'y a aucun lien de parenté entre O. Duhamel et la présumée victime. Beau-père n'est pas un lien de parenté.

                En droit on parle d'inceste même quand une tierce personne à autorité sur l'enfant . Là on peut parler d'inceste et de pédophilie .
                Un père qui couche avec sa fille majeure , c'est moralement condamnable ,mais ça ne regarde pas la justice , ils n'ont juste pas le droit , heureusement , de se marier .

                • [supprimé]

                • Modifié

                Extrait

                Un an. Des années. Deux ou trois. Je ne sais pas. À Paris, à Sanary. Mon beau-père entrait dans la chambre de mon frère. J’entendais ses pas dans le couloir et je savais qu’il le rejoignait. Dans ce silence, j’imaginais. Qu’il demandait à mon frère de le caresser peut-être, de le sucer. J’attendais. J’attendais qu’il ressorte de la chambre, plein d’odeurs inconnues et immédiatement détestées. Il entrait ensuite dans la mienne. Ma nouvelle chambre qui désormais séparait celle de Victor de celle des parents. Cette chambre-péage. Cette chambre-témoin obligé. Pendant ces longues années. Mon beau-père entrait dans ma chambre et, sans doute pour me faire taire, s’asseyait sur mon lit. Il me disait : « Tu as mis une culotte ? Tu sais que je ne veux pas que tu mettes de culotte pour dormir. C’est sale. Ça doit respirer. » Il me disait : « Tu sais, pour ta mère, chaque jour est une victoire. Chaque jour est un jour de gagné. Laissez-moi faire. On va y arriver. » Il entrait dans ma chambre, et par sa tendresse et notre intimité, par la confiance que j’avais pour lui, tout doucement, sans violence, en moi, enracinait le silence. * La culpabilité est comme un serpent. On s’attend à ce qu’elle se déploie en réaction à certains stimuli mais on ne sait pas toujours quand elle viendra vous paralyser. Elle fait son chemin, trace ses voies. La culpabilité s’est immiscée en moi comme un poison et a bientôt envahi tout l’espace de mon cerveau et de mon cœur. La culpabilité se déplace d’objet en objet. Elle se greffe plusieurs visages et vous fait regretter tout et n’importe quoi. Ma culpabilité a plusieurs âges. Elle fête tous ses anniversaires en même temps que moi. Ma culpabilité est ma jumelle. Une nouvelle gémellité. Et d’abord, la culpabilité noie la mémoire. Elle efface les dates pour laisser sa proie dans le noir

                • [supprimé]

                • Modifié

                James Et à la fois, on ne voit pas de démentis.

                Et quels poids crois-tu qu'ils auraient ces démentis face à une justice médiatique plus qu'expéditive ? Toi qui critiques tant l'époque car elle dit quoi penser aux gens, et surtout comment penser correctement (Cf. le fil sur les élections US très récemment), il n'y a rien qui te titille, là ?

                Qui connaissait la fille Kouchner avant ce livre ?

                  «Une question d’âge» : quinze ans plus tôt, l’inceste en toutes lettres
                  Par Anne Diatkine — 11 janvier 2021 à 20:36
                  L’ouvrage, écrit par l’ex-épouse d’Olivier Duhamel et publié en 2005, évoquait déjà de manière claire les très forts soupçons pesant sur le politologue.
                  «Une question d’âge» : quinze ans plus tôt, l’inceste en toutes lettres
                  C’est un livre qui apparaît aujourd’hui comme un contrechamp à la Familia grande de Camille Kouchner. Un récit qui est le point de vue de sa mère, Evelyne Pisier, et qui sidère par sa franchise sans filtre. Une question d’âge, paru en 2005, est comme la lettre volée dans la célèbre nouvelle d’Edgar Allan Poe. Il y a quinze ans, le livre a été fortement médiatisé sans que la question de l’inceste, qui court à bas bruit durant tout le livre et occupe centralement les deux derniers chapitres, ne soit mentionnée, et pour cause

                  https://www.liberation.fr/france/2021/01/11/une-question-d-age-quinze-ans-plus-tot-l-inceste-en-toutes-lettres_1810917

                  Les"signaux faibles" ne manquaient pas.

                  C’est le Code civil qui définit les mariages incestueux. En ligne directe tous les ascendants et descendants, entre collatéraux, frères et sœurs, oncles et nièces, tantes et neveux, entre alliés entre beaux-parents et beaux-enfants, le beau-père ne peut pas épouser sa bru et la belle-mère ne peut épouser son gendre.

                    gth

                    Par contre on peut se marier entre cousin .