De toute manière, on connaît l'histoire du Liban. C'était une état 100% chrétien. C'était même sa caractéristiques à l'époque. Ils ont voulu s'agrandir en happant un territoire avec ce qui est devenu une minorité musulmane du pays, un peu comme certains voulaient garder l'Algérie et en faire une partie intégrante de la France. Le général avait pourtant été bien inspiré imaginant peu la nouvelle stratégie immigrationniste de l'anti-France. La deuxième erreur a été d'accepter les migrants musulmans, en commençant pas les Palestiniens (très majoritairement musulmans), pour, plus récemment, sous la préssion de la "minorité" musulmane de plus en plus grosse (en plein boom nataliste), inviter tous les musulmans migrants, des frères, en fait pour la minorité musulmane bien plus proche de ces gens là que des libanais chrétiens. Bientôt, en fait déjà, les libanais chrétiens, les autochtones, seront invités à partir ou à se convertir. Tout est dit.
Les anti-français, en fait les anti-européens (soyons clairs car on est dans le même bain), qui organisent le remplacement de la population en Europe font strictement la même chose. L'argument premier des immigrationnistes au lancement de cette politique a été d'agrandir la population française, pour combattre la baisse de natalité française (alors qu'ils prônaient la "liberté" d'avorter) et pour se rapprocher de celle de l'Allemagne. L'Allemagne résistait en important exclusivement les populations germanophones d'Europe de l'Est et de Russie, car l'Allemagne tenait à son droit du sol (politique menée jusqu'à Kohl avec Schroeder qui a changé la loi Allemande). Depuis Merkel, l'Allemagne s'est alignée sur la France, avec un bémol : elle ne prend pas les non diplômés, fainéants, incapables ou débiles voire écervelés et futurs terroristes, dans leur part d’immigrés, reliquat qu'ils envoient en France, que les dirigeants de gauche français (donc Macron compris) acceptent volontiers pour faire grossir la part de leur électorat qui les quitte dès qu'il obtient une situation (par ailleurs de plus en plus difficile à obtenir pour les non français de souche).
Dans toute cette soupe anti-autochtone, mondialiste, débilitante et dégradante, y a un seul résistant et c'est un petit village gaulois... pardon un petit pays hongrois de moins de 10 millions d'habitants, avec son chef Orban.
Donc, voilà : le Liban c'est la France dans 30/50 ans (l'Europe dans 50/80 ans). Macron se sent chez lui et s'entraine sur la situation qu'il aurait à gérer s'il est réélu. Ca relève de sa formation continue.