Sargon Nous sommes bien d'accord sur l'historique des méfaits. N'oublions pas non plus que c'est Mitterrand qui fit ouvrir les plateaux de télé à Jean-Marie Le Pen. Quant au fric, c'est en évidence; je me souviens d'un voyage Toulouse jusqu'à chez moi par la RN20 à l'époque et d'avoir été stupéfait de voir les affiches du FN et de JMLP partout car ce parti n'avait jamais gagné une élection, n'avait pas d'argent et guère de militants. Il fallait un poison côté droit, quelqu'un qui divise et qui gêne Chirac version Cochin dans son ascencion. Et puis Mitterrand était facho lui-même et cela lui allait bien.
Mais la combine n'aurait jamais marché sans le contexte de gouvernance démagogique du PS et PCF de 1981 à 1986, sans la montée déjà de l'islamisme et de l'insécurité.