Le 12 juin 2020 éclatait très brièvement une affaire judiciaro-judiciaire bien dégueulasse que la presse système et toute l’institution judiciaire se sont immédiatement empressées d’étouffer aux yeux du public.
A Dijon, un magistrat mis en examen pour avoir proposé des rapports sexuels avec sa fille 12 ans à des inconnus sur internet.
Des perquisitions menées au domicile du magistrat ont permis de confirmer les faits. L’épouse, elle-même magistrate à Dijon, prétendra tout ignorer des faits ; tandis que le mari soutiendra être l’auteur unique des messages sur le site libertin. Bienveillance du collègue magistrat instructeur, l’épouse sera immédiatement mise hors de cause, sans autre conséquences pour elle. Dans ce milieu on se respecte, dans ce milieu on s’épargne. C’est ainsi que l’épouse du magistrat qui se déclarait publiquement libertin dans les couloirs du palais ne sera pas d’avantage inquiétée et conservera la garde de l’enfant.
Il s’agit d’Olivier BAILLY, Vice-Président de la Chambre de la famille au tribunal de grande instance de Dijon. Un gros dégueulasse, intransigeant avec les justiciables qui lui étaient présentés, libertin déclaré connu de tous dans les couloirs du palais de Dijon et à la fin, pédophile avéré ; quoique pour l’instant considéré comme innocent et très certainement assuré de la bienveillance de ses pairs.