[supprimé]
En réalité à te lire l’on peut déduire instantanément quelques éléments majeurs.
Tu te complais dans une croyance aveugle dans le fait que tu estimes être atteint d’une maladie grave, qui fait de toi un individu exceptionnel. Tu brandis ta schizophrénie comme un étendard.
Tu ferais mieux de commencer par méditer la sentence de Karl Marx, « Le religion est l’opium du peuple ».
Si tu creuses un peu la question, et si tu disposes réellement du niveau cognitif que tu dis avoir à ton niveau d’études autodéclaré, cela te ferait plus de bien qu’un doublement d’une dose de neuroleptiques.
Les neuroleptiques et substances assimilées créent une accoutumance et une « anormalité normale » qui est souvent susceptible de générer elle-même, s’ils n’existent pas au préalable, des troubles dans le genre des tiens, ou parviennent à tous les coups à renforcer une pathologie préexistante.
Si l’on pouvait te donner un conseil médical, ce serait le suivant. Hospitalisation dans un service de neurologie. Sevrage total de tout produit, allopathique ou autres. Observation neuro, et réaction allopathique du neuropsychiatre, seulement au fur et à mesure de la réapparition des différents troubles. En limitant strictement les médications aux troubles constatés à ce moment, après étude de ces troubles avec un un psychanalyste.
Je ne suis pas neurologue. Mais je prends à dix contre un qu’aucun neuropsychiatre ne renierait cette approche de tes problèmes.