blobfish
Tu écris : « les LGBT ne représentent pas plus de 20% de la population ». Heureusement que tu précises que ces chiffres sortent de tes estimations personnelles. Ils sont beaucoup plus que fantaisistes.
Dans les sociétés occidentales, les vrais homos, ceux dont la pratique sexuelle de fond est celle de l’autre sexe par rapport au leur, mâles et femelles confondus, est de 3 % des populations observées. Pour ce qui concerne les vrais homos, c’est-à-dire ceux dont la particularité sexuelle est d’origine génétique, l’on peine à trouver plus du double de ce chiffre. C’est-à-dire 6 %, mais en ajoutant aux 3 % initiaux les individus qui pratiquent des activités sexuelles homos, sans être eux-mêmes des vrais homos. Uniquement par un choix personnel de leur part, et pas pour des raisons génétiques. Parce qu’ils trouvent dans ce choix une autre motivation qui va au-delà de l’aspect sexuel de la question.
Il te serait simple de la constater toi-même. Tu prends en compte les cent personnes qui résident le plus près de chez toi. Et tu comptes combien il y a d’homos sur ces 100 là. Tu auras immédiatement ton pourcentage.
Valable uniquement pour ton quartier, certes. Mais si tu fais cela dans deux ou trois endroits de la ville un peu distants les uns des autres, tu tomberas sur une moyenne correspondant à celle que j’indique.
De toutes manières, qu’est-ce que cela a à voir avec ce que doivent être les préoccupations de la gauche ? Supposerais-tu qu’il y a plus ou moins d’homos à droite qu’à gauche ? Ou inversement ?
En outre, les trois noms que tu indiques comme étant de supposés communiste à ton avis, Staline, Mao et Pol Pot, ont été tout ce que tu voudras, mais pas des communistes ou des socialistes. Ou alors les mots ont changé de sens.
Mais, bis repetita, ou est le rapport entre le communisme et l’homosexualité ? Ou entre le communisme et les droits qui auraient été refusés aux homos ?