Bon, alors j'ai des infos fraîches venant de personnes qui ont regardé de l'intérieur (des gens de droite qui les ont infiltré) ce mouvement "Black Lives Matter" et son organisation. Ce mouvement est organisé de longue date (rien avoir avec Floyd qui n'est que l'argument du moment trouvé voir fabriqué puisque le policier et Floyd se connaissaient avaient travaillé ensemble). Ce mouvement a des moyens financiers collossaux et une organisation très structurée et opaque. Une partie de ses finances visibles vient de la drogue mais le gros de son finaicnement en amont est totalement opaque. Ca pourrait être la Russie, mais ça pourrait plutôt être la Chine, car avec bien plus de pignon sur rue. Autrement il faudrait une somme de milliardaires derrière et ça se verrait. Pas mal de politiciens américains trempent dedans, sans que ce soient en apparence les plus extrêmistes.
Mais surtout ATTENTION : ce mouvement qui se créé aux Etats-Unis se veut mondial et veut balayer tout l'occident et en finir avec la culture occidentale européenne et méditérannéenne. Désormais, entre deux statues démontées aux Etats-Unis (ça se poursuite tous les jours et ça touche quasiment tous les grands américains mais surtout l'ensemble des colons européens), on parle d'aller en Europe et défoncer la culture "escalavagiste et impérialiste européenne", en France et au Royame-Uni pour soutenir les frères de cause, mais surtout, et c'est là la nouveauté, débarquer en Italie pour raser les vestiges romains, une civilisation esclavagiste et impérialiste, aller en Grèce raser les ruines grecques, et débarquer en Egypte pour raser les pyramides et les monuments Pharaoniques.
Ce mouvement est clairement un mouvement dirigé contre l'ensemble de la civilisation européenne et méditéranéenne. Ce mouvement est en train de s'agréger à des mouvement de type nord européens, anti gréco-latins, écolos et d'extrême gauche comme il y en a eu dans les années 70. La base majeure de ce mouvement se situe dans les universités où se trouvent leurs maîtres à penser, soit dans des cercles d'études autour de certains professeurs, soit ayant infiltré et dominant les fraternités étudiantes, très courantes dans les facs américaines.
Fait sans précédent, il y a des villes américaines où on n'a pas osé fêter le 4 juillet, avec des heurts ou des drapeaux brûlés pendant le déroulement de la fête. Par ailleurs un partie des villes est contrôlée par ces manifestants qui ne laissent plus passer la police.
Les maires de France qui se prêtent à ce mouvement ne sont pas du côté des français, mais font bien partie de l'anti-France.