• [supprimé]

Dusol Se souvient-il qu'il doit tout à JK Rowling ?

    « Les femmes transgenres sont des femmes. (…) Toute déclaration contraire va à l’encontre de leur identité et leur dignité."

    Et ceux qui diront le contraire seront punis par la loi.

    Ben dans ce cas là, pourquoi ne pas dire "femmes" au lieu de dire "les personnes qui ont leurs règles" ? Cela n'a pas de sens.

      Les femmes transgenres sont des femmes.

      Biologiquement non.

      Des hommes mutilés de leurs organes reproducteurs, bourrés d'hormones féminines, et souvent maquillés comme des voitures volées, ne seront jamais des femmes biologiques. Feindre de le croire est une immense hypocrisie.

        La maladie d'Alzheimer est une maladie neurodégénérative incurable du tissu cérébral qui entraîne la perte progressive et irréversible des fonctions mentales et notamment de la mémoire. C'est la cause la plus fréquente de démence chez l'être humain....
        .... et être "pro lgbt" c'est une sorte de démence de la sexualité

          Ejainiste être "pro lgbt" c'est une sorte de démence de la sexualité

          Le progressisme altère les facultés cognitives.

          Concernant Daniel Radcliffe, on sent qu'il a juste envie de sortir du personnage d'Harry Potter, et faire une autre carrière au cinéma où afficher des positions politiquement correctes est une condition nécessaire.

            • [supprimé]

            • Modifié

            C'est quand même pas sorcier de dire qu'un homme a un pénis et deux testicules , et qu'une femme a un vagin deux ovaires et un utérus et c'est comme ça que l'humanité fonctionne depuis sa création . Le reste n'est que de la branlette pour déviants et handicapés du bulbe .

            tiresias Le progressisme altère les facultés cognitives.

            Concernant Daniel Radcliffe, on sent qu'il a juste envie de sortir du personnage d'Harry Potter, et faire une autre carrière au cinéma où afficher des positions politiquement correctes est une condition nécessaire.

            A vérifier s'il n'est pas lui-même ''gay''.

              • [supprimé]

              Dusol

              Il faut le demander au manche de son balai .

                [supprimé] Se souvient-il qu'il doit tout à JK Rowling ?

                Oui, effectivement. D'une manière plus ou moins directe c'est le cas.

                Et il n'est pas le seul.
                Sa camarade dans le film à pris la même position sur le sujet...

                vin-100
                Il ne faut pas dire les femmes quand on parles des personnes qui ont leurs règles, parceque les femmes transgenres seraient alors incluses dans cet ensemble alors qu'elles n'ont pas leurs règles. Eh oui c'est tordu mais c'est le délire du moment, je me souviens aussi d'un article que j'ai mentionné ici il y a un an ou deux, dans lequel on apprenait qu'une université US avait annulé une représentation de la pièce "les monologues du vagin", pour le motif qu'elle discrimine les femmes qui n'ont pas de vagin (les femmes transgenre non opérées, donc).

                Les seuls qui ont le droit de choisir leur sexe ce sont les hermaphrodites. sinon c'est un trouble de la personnalité.

                Martin est né avec un micropénis et un vagin. Mais les médecins tranchent : c'est un garçon. Plusieurs opérations plus tard, il ne sait toujours pas quel est son sexe.
                "J'ai les traits féminins, de longues mains, une grande carcasse. Je m'habille en homme, avec des ongles vernis et des barrettes. Je suis né(e) il y a quarante-huit ans, dans une famille nombreuse, catholique pratiquante. On annonce à mes parents que je ne suis "pas conforme". En fait, je suis né avec un micropénis, pas de testicule et un vagin. Je suis ce qu'on appellait avait un hermaphrodite. Pour ma part, je préfère le terme "intergenre".

                Ni homme ni femme, ou bien les deux à la fois. Les médecins tranchent : je suis un garçon... mais un garçon "raté", qu'il faudra "réparer". Mes parents ne se posent pas de questions, ils me prénomment Martin et m'élèvent comme un garçon. Pour eux, je suis avant tout un enfant du bon Dieu, et cela leur suffit pour m'aimer. Quand mon père offre un pistolet de cow-boy à mon frère aîné, il m'en offre un aussi. Et quand mes sœurs s'appliquent du vernis à ongles, ma mère me laisse faire pareil, même si elle me demande de le retirer juste après.

                J'ai cinq ans le jour où ma mère revient avec mon petit frère à la maison. Quand elle change sa couche devant moi, c'est le choc. Soudain je découvre que je ne suis pas un garçon : mon zizi est plus petit que le sien et je n'ai pas ces curieuses clochettes en dessous. Je me sens trahi. ...

                Lorsque je traverse l'adolescence, quand les garçons deviennent des hommes et que je reste indéfinissable, mes sœurs répondent aux questions et aux attaques à ma place. L'amour de mes proches m'a sauvé. J'ai de la chance, je peux compter sur une famille aimante et des amis compréhensifs. Personne ne se moque de moi pendant ma scolarité. Mes camarades de classe discutent de masturbation, de filles et de mobylettes. Pour moi, c'est un autre monde. Ils le comprennent et disent : "Ça n'intéresse pas Martin."...

                Aujourd'hui, mon combat est de lutter contre la médicalisation à outrance exercée sur les gens comme moi. On ne peut pas sortir indemne de ça. Il faut simplement que la société et les parents apprennent à aimer ces enfants différents, pour les accompagner jusqu'à l'âge où ils pourront choisir. Jusqu'au jour où ils décideront d'être un homme ou une femme. Ou un peu des deux.

                  Je suppose que les cas d'hermaphrodisme sont rarissimes. En revanche les transexuels traités aux hormones et-ou opérés sont probablement de plus en plus nombreux, et je ne pense pas que ça soit une bonne chose. Je pense qu'une partie d'entre eux sont des gens qui ont de gros prôblèmes psychologiques, dépression ou autres, ils recherchent donc du changement et de l'attention, les nombreux rendez-vous avec des médecins en vue de l'opération leur apportent cette attention qu'ils recherchent, en plus de la satisfaction d'être dans la tendance du moment, d'être dans le mouv'. L'opération et les traitements hormonaux amènent des changements irréversibles, et quand ils réalisent leur erreur il est trop tard.

                  Un(e) transexuel(le), c'est un(e) inverti(e) qui est allé(e) au bout de sa logique.

                  C'est chiant d'être inclusif...

                    Propos eugénistes et homophobes de nature à porter atteinte au Forum et à ses administrateurs. C'est loin d'être la première fois, vous concernant. Et c'est aussi la dernière sans conséquence. Merci de bien vouloir le noter / GG

                    tiresias Un(e) transexuel(le), c'est un(e) inverti(e) qui est allé(e) au bout de sa logique.

                    C'est chiant d'être inclusif...

                    Veillez à utiliser le·a point·e médian·e.

                    3 mois plus tard

                    J.K. Rowling remet ça
                    https://www.valeursactuelles.com/monde/des-fans-brulent-des-livres-harry-potter-de-jk-rowling-accusee-de-transphobie-123765


                    Enfin une milliardaire qui s'amuse à faire rager les débilo-progressistes

                    Pourquoi il n'y en a pas plus dans le show business ? c'est pas les occasions qui manquent.
                    Ou alors ne sont pas si riches que ça et ne peuvent pas se le permettre. Ou sont de lâches. Ou sont d'accord avec les élucubrations liberticides progressistes.

                    En tout cas bravo à J.K. Rowling, quelle continue et même les provoque: leurs gloussements nous font marrer. ça me fait penser à un OSS117 au Caire ou Jean Dujardin s'amuse à allumer et éteindre la lumière d'un poulailler ben là, avec les progressistes c'est pareil: t'appuie sur le bouton, ça glousse, t’arrête, les gloussements s’arrêtent.