katou
En Italie et en Espagne ils ne vivent pas dans des régions d'élevage. Ce n'est pas un hasard si en France on avait dû s'en débarrasser.
La saga de l'ours pyrénéen.
Le gouvernement italien a su prendre les devants et aidé à la mise en place de protections, les bergers ont adapté leur mode de fonctionnement, travaillent avec des patous (chiens bergers de Pyrénées ou d'Anatolie) et rassemblent leurs troupeaux, beaucoup plus petits qu’en France, dans des enclos sécurisés près des bergeries chaque soir.
« Oui c’est de la manipulation supplémentaire, sauf qu’en France, on n’a plus l’habitude, on ne prend plus le temps d’être agriculteur. Les exploitations deviennent de plus en plus grosses, les troupeaux sont laissés en liberté, on les surveille depuis son 4x4, son quad, une fois par jour. Le métier d’agriculteur est dur et on n’a pas envie de s’ajouter plus de contraintes. Mais on doit peut-être se poser des questions. »
https://www.lamontagne.fr/arrenes-23210/actualites/nicolas-aubineau-un-berger-pret-a-cohabiter-avec-le-loup-en-creuse_12876618/
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katou Le gouvernement italien a su prendre les devants et aidé à la mise en place de protections, les bergers ont adapté leur mode de fonctionnement, travaillent avec des patous (chiens bergers de Pyrénées ou d'Anatolie) et rassemblent leurs troupeaux, beaucoup plus petits qu’en France, dans des enclos sécurisés près des bergeries chaque soir.
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[supprimé] Bonne idée, continuons de les laisser s'en prendre aux troupeaux. Pour un loup protégé, combien de brebis éviscérées?
Les conséquences vont bien au-delà des seules exterminations de troupeaux.
Pour ce qui concerne certaines vallées alpines, notamment en Ubaye, c'est tout simplement la vie qui a changé depuis qu'un quarteron d'excités a décidé qu'il fallait du loup, que ça faisait plus "planète partagée" et autres conneries inspirées par les sempiternelles mièvreries humanistes.
Les alpages sont devenus d'immenses territoires de chasse pour ces merveilleux prédateurs, impossibles à sécuriser pour les bergers. Qui en sont réduits à ne plus quitter les fonds de vallées. A Maurin (Haute-Ubaye), par exemple, il y a chaque été des milliers de moutons qui sont contenus pour l'estive à l'altitude 2000m. Ceux là mêmes qui jadis passaient les mois d'été à la cote 2600m n'y sont plus conduits. La vallée est devenue un immense champ de déjections, la rivière est dans l'état sanitaire du Gange à Prayagraj, la dynamique du ravinement est désormais incontrôlable, les promeneurs, randonneurs sont attaqués par les meutes de patous, beaucerons et autres molosses, les bergers logés dans des caravanes posées ça et là passent les journées à descendre des bières et à insulter tous ceux qui osent emprunter les GR ayant la (très) mauvaise idée de longer leurs campements de roms de la montagne, rendus fous par le stress permanent dû à notre ami le loup, qui désormais descend faire ses courses à 2000.
On ne parle plus des campeurs, en général des passionnés de montagne qui posaient une tente dans un coin de prairie pour tout camp de base et partaient escalader les sommets des alentours, il n'y en a plus.
D'un endroit paradisiaque qui vivait sa parfaite harmonie avec la nature, le loup et quelques saletés de bobos, ses frères, ont rendu la copie suivante : un chaos aux odeurs de merde et de kanterbrau, livré aux aboiements incessants. Et au milieu coule une rivière, d'urine.
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france2100 En Italie et en Espagne ils ne vivent pas dans des régions d'élevage. Ce n'est pas un hasard si en France on avait dû s'en débarrasser.
Et l'autre qui vient raconter la sienne depuis sa barre d'immeuble dans le 9.3...
En Italie le loup vit évidemment dans des zones d'élevage. Dans les Abruzzes le loup n'a jamais disparu, il n'y a jamais eu rupture d'expérience pour cer qui concerne les éleveurs. De plus c'est un élévage en zone humide, avec berger permanent sur l'année et traite en milieu fermé le soir venu. Nous ne sommes pas dans l'élevage d'alpage. très spécifique, ou en zone aride.
D'autre part les bergers sous-payés, non déclarés, (souvent des albanais) sont plus nombreux, mieux armés aussi (nombre de loups italiens regrettent leurs excursions alimentaires). Et même avec toutes ces conditions très différentes, dont notamment un régime d'indemnisation beaucoup plus favorable, le loup y est devenu aussi un problème. Les prédateurs sont tracés, surveillés mais "le bel équilibre" des années passées est en voie de dissolution face au nombre croissant des nuisibles.
Aujourd’hui, huit meutes y ont élu domicile, soit une cinquantaine d’individus, contre à peine une vingtaine il y a quarante ans. Surtout, c’est depuis les Abruzzes que le prédateur a reconquis la majeure partie de son aire de répartition historique en Italie, pour finalement atteindre la France (où il est entré en 1992), la Suisse et l’Allemagne.
« Nous équipons les animaux de colliers émetteurs pour les recenser, les suivre et mieux connaître leur comportement, explique Roberta Latini, l’une des biologistes du parc, qui y travaille depuis vingt ans. Dans les années précédentes, nous avons aussi beaucoup travaillé sur des programmes permettant d’améliorer la coexistence entre les grands carnivores et les éleveurs. »
La réserve naturelle, en incluant sa vaste zone de protection externe, abrite en effet 1 500 activités d’élevage, des ovins et caprins (40 000), mais aussi des bovins (12 000), des chevaux et des volailles. En 2016, ses rangers ont procédé à 386 contrôles après des attaques de loups, donnant lieu à 144 000 euros de dommages versés aux éleveurs lésés. Soit à peine 1,5 % du budget annuel du parc. « Les éleveurs touchés sont dédommagés très rapidement, en moins de deux ou trois mois, et généreusement puisque nous remboursons le prix de la bête mais aussi de son produit, viande ou fromage, détaille le directeur, Dario Febbo. Ainsi, nous protégeons à la fois les hommes et les loups, en évitant les conflits. »
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katou Le gouvernement italien a su prendre les devants et aidé à la mise en place de protections, les bergers ont adapté leur mode de fonctionnement, travaillent avec des patous (chiens bergers de Pyrénées ou d'Anatolie) et rassemblent leurs troupeaux, beaucoup plus petits qu’en France, dans des enclos sécurisés près des bergeries chaque soir.
« Oui c’est de la manipulation supplémentaire, sauf qu’en France, on n’a plus l’habitude, on ne prend plus le temps d’être agriculteur. Les exploitations deviennent de plus en plus grosses, les troupeaux sont laissés en liberté, on les surveille depuis son 4x4, son quad, une fois par jour. Le métier d’agriculteur est dur et on n’a pas envie de s’ajouter plus de contraintes. Mais on doit peut-être se poser des questions. »
https://www.lamontagne.fr/arrenes-23210/actualites/nicolas-aubineau-un-berger-pret-a-cohabiter-avec-le-loup-en-creuse_12876618/
Te reconnais bien là, toi et ton namour des zanimos. Qui malheureusement ne se fonde sur aucune connaissance réelle.
Tu parles aussi bien du loup que des corridas, c'est dire. Avec autant de science.
Et puis j'aimerais te voir aller ramasser des fleurs pour tes productions littéraires au beau milieu d'une meute de kangals. Moi, à choisir je préfère pénétrer le territoire des loups en slip et avec un coupe-ongles comme seule arme de destruction massive.
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Et cette saloperie est en train de coloniser l'Auvergne. Dont les conditions d'élévage se rapprochent de celles dans les Abruzzes.
M'est cependant avis que les éleveurs locaux feront moins dans l'administratif que leur collègues aux troupeaux transhumants vers les alpages. Dans le Cantal, ça a déjà défouraillé sévère du côté du Puy Mary. Comme le premier gendarme est à quarante bornes, quand les bleus se sont pointés pour mener enquête, la zone était déjà nettoyée des odeurs de poudre.
Financée par l'Union Européenne (Feader) et l'État français, la subvention pour la protection des troupeaux ovins et caprins contre les loups concerne les éleveurs du Puy-de-Dôme, à compter de cette année.
Compte tenu des relevés d'indices de présence de l'espèce Canis lupus établis par les services de l'Office Français de la Biodiversité en 2018 et en 2019 dans le Puy-de-Dôme, ainsi que dans les départements limitrophes (Cantal, Ardèche, Lozère), la subvention est disponible pour tous les agriculteurs ovins et caprins puydômois.Des conditions à respecter
L’arrêté préfectoral 20-00607 du 5 mai 2020 prévoit que les agriculteurs sont éligibles à une aide financière pour mettre en place des mesures de protection contre la prédation du loup, sur l'ensemble des communes du département.Cet arrêté est disponible sur le site internet de l'Etat à l'adresse : http://www.puy-de-dome.gouv.fr/mise-en-oeuvre-du-plan-national-d-action-loup-dans-a6789.html
Pour l’année 2020, le classement en cercle 3 ouvre l'accès aux aides suivantes :
• une aide financière de 80% pour l’entretien et l’achat de chiens de protection,
• une aide financière de 100% pour l’accompagnement technique des éleveurs à la mise en place de chiens de protection.
Pour être recevable, les factures d’achat du chien, de stérilisation ou de test de comportement doivent être établies au nom du bénéficiaire de la subvention (hormis pour les dépenses liées à l’entretien des chiens qui font l’objet d’un forfait d’aide annuel).
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D'ailleurs et pour en finir, puisque le sujet regroupe tous les mêmes cons à la défensive, un grand moment des années vidéos.
Z si jamais tu nous lis, rappelle-toi, ce fut une de tes plus belles crises de rire. Souvenirs...
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On a bien compris, tu défends la sauvagerie des humains (corrida par ex), contre la soi-disant sauvagerie d'animaux qui eux ne ne tuent que pour manger ou se défendre. Alors l'intelligence supérieure des humains est incapable de faire en sorte de vivre avec les animaux comme le loup et l'ours ? Tu montres en effet cela.
Quant aux kangals, je ne vois pas, ils ne sont pas dressés ?
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Je ne vis ni avec des ours, ni avec des loups, ni d'ailleurs avec des singes.
J'appartiens à une espèce qui s'est extraite du règne animal pour construire son latifundium à la force du muscle et de l'esprit. Et qui ce faisant a consenti, par générosité ou faiblesse, à se laisser accompagner dans son périple d'êtres plus incertains, oscillant entre les deux orbites. Dont toi, apparemment.
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[supprimé] L’arrêté préfectoral 20-00607 du 5 mai 2020 prévoit que les agriculteurs sont éligibles à une aide financière pour mettre en place des mesures de protection contre la prédation du loup, sur l'ensemble des communes du département.
Et la protection des ovins contre leur massacre lors de l'aid ?
Le humains sont les plus grands et premiers prédateurs de la planète terre et leur intelligence sert le plus souvent contre les autres espèces et eux-mêmes.
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katou Quant aux kangals, je ne vois pas, ils ne sont pas dressés ?
Si si, sur les pattes arrière, parfois.
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katou Et la protection des ovins contre leur massacre lors de l'aid ?
Je mange des omelettes, un putain de rat bouffe des oeufs dans mon poulailler en ce moment, je suis un putain de rat (en ce moment).
Et toi, t'es pas la moitié d'une courge.
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Le Berger d'Anatolie ou Kangal, chien géant
Classé dans la catégorie des chiens géants et des molossoïdes, le Kangal, ou Berger d'Anatolie, possède un corps à la forte musculature. Gardien de troupeaux avant tout, la protection et la défense sont innées chez lui. Intelligent, affectueux, mais avec du caractère, le Kangal, ou Berger d'Anatolie, est un bon animal de compagnie à condition qu’il puisse se dépenser physiquement à sa guise.
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[supprimé] Et toi, t'es pas la moitié d'une courge.
Et toi d'un navet. Un chien se dresse et massacrer des animaux et lui-même , seul l'humain sait très bien le faire sans état d'âme. La corrida t'a complètement tourné le cerveau.
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katou Intelligent, affectueux, mais avec du caractère, bon animal de compagnie à condition qu’il puisse se dépenser physiquement à sa guise.
Tout le portrait de James.
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Ca se confirme.
katou Nettoyer son casse croute avant de le manger c'est bien, mais avec la langue, c'est une aberration!
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Une chatte, une langue qui pend, et voilà Katou qui s'extirpe de son quotidien. Il est des êtres aux requêtes modiques.