[supprimé]
J'ai corrigé mon propos avant votre message, afin de signaler que vous réduisez le bonheur au bien - être, et que vous imaginez que l'on ne peut espérer plus ; en conséquence, si vous raisonnez en termes de coût et d'avantage, vous direz que c'est un choix assez rationnel.
Je rajoute, à mon dernier post, que si vivre pour jouir ne mène pas forcément à des mœurs de crasseux, en témoigne les épicuriens en leur temps, c'est une première étape assez nécessaire pour y arriver.
J'ai oublié de préciser à @Dashwood, qu'en général, ceux qui réduisent le beau à la sensation, l'art à un spectacle, font de ce dernier une jouissance, comme vous l'avez dit d'ailleurs, un moyen de répondre à la libido sentiendi : ils sont soumis à leurs désirs, à la satisfaction que l'on trouve dans la sensation. C'est pourquoi, il n'est guère étonnant que les mêmes en général, se distinguent disons par leurs mœurs, ou par la défense de l'adultère, de l'homosexualité, de la fornication, de l'avortement...