Les extraits de films qui vous ont marqués, les scènes mythiques que vous souhaitez partager. Critiquer mais proposer aussi, quiconque pénètre ici doit s'appliquer ce principe. Tous les genres, un seul critère : le talent.

"Chaque homme est seul et tous se fichent de tous et nos douleurs sont une île déserte." Belmondo tient enfin là le rôle de sa vie. Une vie partagée entre le réel et le rêve, il est Sam Lion. Un Sam Lion qui joue parfois à être Belmondo. Deux scènes monumentales.

Fais comme si c'était pas tellement grave

L'Afrique, la France, le bon vieux temps des colonies. Monumental Noiret, comme toujours. Il est six heures, nous entrons dans la forêt vierge.

Dashwood Oh oui mythique avec la suite quand Claudia va leur offrir à boire.

Il n'est pas nécessaire de le dire aux enfants.

Définition d'une figure de style à la façon Audiard : . "L'aigle va fondre sur la vieille buse. Un peu chouette comme métaphore, non ? C'est pas une métaphore, c'est une périphrase. Fais pas chier ! Ça , c'est une métaphore." . Film : "Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages." .

Ce site est optimisé pour être consulté depuis un navigateur moderne dans lequel JavaScript est activé.

Cinéma Paradiso

[supprimé]

"L’Épouvantail" de Jerry Schatzberg. Palme d’or au festival de Cannes 1973

Schatzberg met en scène la rencontre improbable entre deux vagabonds, des paumés, des laissés-pour compte que tout oppose - chacun poursuivant le même rêve ordinaire, celui accéder à une vie normale -, et leur errance existentielle sur les routes (road-movie in English), le rêve américain chevillé au corps, alors qu'ils sont condamnés à vivre à la marge dans une société à broyer les plus faibles.
La désillusion et la tragédie les attendent au bout de leur périple donquichottesque.

Entre rires et larmes, mémorable duo G.Hackman/ Al Pacino, avec une mention spéciale pour Pacino dans le rôle d'un doux rêveur professant la philosophie du rire. Immense Pacino, faut-il le rappeler, qui est sans conteste le plus grand acteur de sa génération.
.

jack127

corsica De Niro qui s'est reconvertie dans la comédie, ça fait un peu de la peine de le voir comme ça parfois. Val Kilmer toujours bon dans les seconds rôles et Pacino égal à lui même.

corsica

jack127
Non, Tu confonds avec "mon beau père et moi" , le nanar pour neuneus. De Niro est excellent dans Heat, malgré le peu de scènes face à Pacino, il en impose. Bien sûr on aurait pu aller plus loin mais ce n'est l'objet du film et la confrontation des deux me convient.
Mann a réussi cet exploit de contenter les égos démesurés de De Niro et Pacino ,tout en faisant la part belle au seconds rôles, qui font le film. Ce qui n'était pas gagné.

Dashwood

L'après-midi parfait: de la neige, un plaid, du thé, du pain d'épices qui embaume, un feu qui crépite et une touche de Lubitsch.

jack127

Non je voulais dire depuis ce film pour De Niro qui est sans doute son dernier grand rôle de gangster. La rencontre reste assez sobre entre ses deux monstres sacrés et on presque déçu de le voir se faire tuer car il incarne le méchant loyal.

agri-info-intox

ne croyez surtout pas que je n'aime pas le cinéma américain, ni même le cinéma d'Hollywood
si seulement nos cinéastes savaient faire des films sur la France profonde aussi réussi qu'Hollywood sait faire
des films sur l'Amerique profonde

gth

agri-info-intox si seulement nos cinéastes savaient faire des films sur la France profonde aussi réussi qu'Hollywood sait faire

Farrebique

[supprimé]

"L. 627" de Bertrand Tavernier. (1992)

Tavernier signe un polar désabusé aux allures de documentaire, dont les séquences s'enchaînent à un rythme intense en une magistrale concordance avec la nervosité de l'écriture.
Les acteurs se sont si bien glissés dans la peau de flics en prise avec les déboires du quotidien, qu'on en vient à oublier qu'ils ne sont pas de la maison poulaga. Leur jeu réaliste, tout en sobriété, tient du prodige, en particulier celui du regretté Didier Bezace, décédé en mars de cette année.

A mon avis, B.Tavernier pourrait aujourd'hui réaliser quasi le même film, hormis les scènes où des blacks sont bousculés par les flics, vu que les ligues de défense contre le racisme le traîneraient le justice, non sans l'avoir au préalable désigné à la vindicte populo-exotique.
.

.
Bertrand Tavernier raconte L.627

katou

L'incontournable Le Seigneur des anneaux ( Le Retour du Roi )

Esscobar

katou L'incontournable Le Seigneur des anneaux ( Le Retour du Roi )

Évidemment, on pourrait aussi citer les HP (Harry Potter) !

Durendal a d'ailleurs fait une magnifique analyse de cette saga magique qui a vu plusieurs réalisateurs à ces commandes (impressionnant !!!) :

jipi

gth

Et sa suite "Biquefarre" de 1983

Je me souviens avoir été le voir avec ma classe. Pas de souvenir particulier en dehors du fait qu'on avait fait jouer des paysans sans grand talent artistique.

agri-info-intox

gth

justement les cineastes français ne savent faire que des reportages écolo- misérabilistes . Pas de fictions , pas d'histoires avec comme cadre le monde ouvrier ou paysan ( le film petit paysan étant une rare exception )

Par contre des films sur la banlieue , ils n'en sont jamais saturés

gth

jipi 2 films sur le monde paysan profond c’est un beau succès. Il n’est pas utile de rajouter Jacquou Le Croquant, un feuilleton télévisé diffusé en 1968. Ce feuilleton avait enflammé la classe paysanne qui proclamait : Nous sommes tous des Jacquou. Le gouvernement était fort inquiet des tournures révolutionnaires que la moindre jacquerie pouvait prendre.

corsica

A propos de bouseux, voilà un film exeptionel, pour une fois que Becker (fils) n'était pas obnubilé par le cancer.

gth

agri-info-intox Un cinéaste ne cherche pas à décrire une réalité existante, il cherche seulement à décrire ce qu’il imagine qu’elle est, ou peut-être même ce qu’il souhaite qu’elle soit, pour satisfaire ses idées reçues et ses stéréotypes, mais nous sommes là dans l’idéologie. Les cinéastes comme tous les saltimbanques sont des sophistes qui ne cherchent qu’à répandre leurs idées comme on épand le fumier.

agri-info-intox

un cineaste raconte une histoire dans le but de divertir un public, si possible le plus nombreux . Accessoirement, son film fait passer un message ou est éducatif .
Mais on peut se divertir avec autre chose que des comédies ou des films marvel , en particulier avec de l'émotion et de la poésie

Un film n'est pas fait pour faire plaisir à son créateur, mais à un public. Si un cinéaste, ne respecte pas ce principe de base, alors c'est un parasite qui vit sur le dos de ses financeurs publics ou privés

agri-info-intox

[supprimé]

il est vrai que le fil a glissé de la scène coup de coeur, vers le film extrait de notre top 10 personnel .

admirons la poésie dans cet extrait de ce trés grand film, palme d'or à Cannes en 1986

[supprimé]

Le génie débridé de Gérard Philippe, acteur irremplaçable, et la beauté froide de Michèle Morgan.
.

[supprimé]

21h18 sur C8 "Baby Driver".
Film sorti il y a 3 ans. Une putaing de bande-son et de belles scènes d'action.

[supprimé]

Que j'ai vraiment revu avec plaisir.
Si vous l'avez raté tant pis pour vous ;-)))

katou

Autant en emporte le vent, film que l'on veut éliminer du patrimoine mondial car soi-disant raciste.

Esscobar

katou Autant en emporte le vent, film que l'on veut éliminer du patrimoine mondial car soi-disant raciste.

Oui ce film est carrément raciste et pas terrible ... Après vouloir l'effacer, voilà bien une belle connerie, c'est l'histoire, si on devait tout effacer de l'histoire, il ne resterait plus grand chose pour se bâtir !

« Page précédente Page suivante »