cadmos Je viens de lire que ce film était passé il y a trois jours sur Arte...raté! Je l'aurais bien revu. Attention chef-d’œuvre... palme d'or 2009 mérité. Film plutôt austère, pas indiqué pour le fana de Bruce Willis. Les évènements étranges dans ce village allemand en 1913, sont-ils une annonce de ce que va arriver 20 ans plus tard ???
Jiminy cadmos Je viens de lire que ce film était passé il y a trois jours sur Arte...raté! Je l'aurais bien revu. Dispo en replay jusqu'au 31!
cadmos Allez, deux p'tits derniers en N&B du même réa polonais Pawel Pawlikowski. 1) Pendant la guerre froide dans les fifties, entre la Pologne et Paris les tribulations d'un couple musicien/chanteuse qui se cherche, se trouve, se perd, se retrouve... sur fond de jazz, d'artistes d'état du bloc soviétique... Un diamant pur... 2) En Pologne dans les sixties, les tourments de Ida, jeune novice orpheline. élevée dans un couvent. Elle va découvrir ses origines dans une Pologne marquée par l'antisémitisme. Prête à prononcer ses vœux, elle va connaitre l'extérieur du couvent dans lequel elle est cloitrée depuis son enfance. Jazz et scène underground...
[supprimé] Film "Les Croix de bois", d'après le célèbre roman de Roland Dorgelés, dont les personnages fictifs lui furent inspirés par ses compagnons de combat. Raymond Bernard le mit en scène en conservant les principaux personnages et la plupart des situations, toutefois, certains passages du roman exhalant un arrière-fond d'anti-patriotisme sont passés à la trappe, et ce, afin ne pas encourir les foudres de la censure, voire de ne pas assombrir le quotidien de trop nombreux civils pressés d'oublier le sacrifice des "poilus", et de recouvrer la paisibilité de leur existence d'avant-guerre. Film à voir dans version restaurée. . . On oubliera. Les voiles de deuil, comme des feuilles mortes, tomberont. [...] Je songe à vos milliers de croix de bois, alignées tout le long des grandes routes poudreuses, où elles semblent guetter la relève des vivants, qui ne viendra jamais faire lever les morts. Croix de 1914, ornées de drapeaux d’enfants qui ressembliez à des escadres en fête, croix coiffées de képis, croix casquées, croix des forêts d’Argonne qu’on couronnait de feuilles vertes, croix d’Artois, dont la rigide armée suivait la nôtre, progressant avec nous de tranchée en tranchée, croix que l’Aisne grossie entraînait loin du canon, et vous, croix fraternelles de l’arrière, qui vous donniez, cachées dans le taillis, des airs verdoyants de charmille, pour rassurer ceux qui partaient. Combien sont encore debout, des croix que j’ai plantées ? Mes morts, mes pauvres morts, c'est maintenant que vous allez souffrir, sans croix pour vous garder, sans coeurs où vous blottir. Je crois vous voir rôder, avec des gestes qui tâtonnent, et chercher dans la nuit éternelle tous ces vivants ingrats qui déjà vous oublient. (Extrait du roman "Les croix de bois", collec. Le livre de Poche; p.283-284)
agri-info-intox Il faut avoir vu le film, pour en comprendre les dernières minutes ..........du grand cinéma 😀 on admirera la performance de l'acteur qui fait le mechant
knulp agri-info-intox Ton rêve ça hein, une belle prison avec plein de ces européens qui te manquent tant.
corsica agri-info-intox Si je ne dois retenir qu'une scène de ce film, c'est le moment où le type se masturbe devant sa copine venue lui rendre visite au parloir, mon côté romantique sans doute.
cadmos jack127 Un éléphant ça trompe énormément en hommage à Jean-Loup Dabadie, pour le scénar du film, mort il y a 3 jours.
agri-info-intox knulp je me suis toujours demandé l'impact terriblement négatif qu'a dû avoir ce film sur l'image de la Turquie ............celle des militaires au pouvoir, trés longtemps avant Erdogan..... Pas sûr que depuis le coup d'état raté de la CIA, contre Erdogan, les gardiens de prison turcs, n'aient pas repris leurs mauvaises habitudes C'est un trés bon film: hyper violent, mais hyper bien joué
jack127 cadmos Oui curieuse coincidence. Parmi les acteurs de ce film, Lanoux et Rochefort disparus en 2017 et Anémone en 2019, la loi des séries...
katou Ce film montre l'exécution d'un innocent et fait référence d'une certaine façon à ce jeune noir George Stinney exécuté alors qu'aucune preuve n'a été apportée sur sa culpabilité.
Dashwood Et Hitchcock créa le travelling compensé dans Vertigo. Le meurtre est véritablement machiavélique, et la blondeur de Kim Novak glaçante.
[supprimé] Une ode à l'esprit de camaraderie ou quand l'effacement des classes sociales naît de l'inévitable cohabitation qu'impose la captivité et de l'espoir commun d'évasion. Le tout sur le ton délicieusement désinvolte de l'ironiste Jacques Perret (écrivain à découvrir pour les amoureux de la langue française) Bien que Jean Renoir ait repris le thème fraternel de "La Grande illusion", "Le caporal épinglé" fait pâle figure face à ce chef d'oeuvre du cinéma, il se laisse toutefois regarder sans déplaisir, d'autant qu'une pléiade d'acteurs, qui fit les beaux jours de notre cinéma, y est formidable. . .
[supprimé] Philippe Léotard, sans doute le seul mec au monde passé de la Légion étrangère à l'hypokhâgne de Henri IV. Un type passionnant, un acteur remarquable. Coluche, son grand pote (il a vécu chez lui une année entière pendant l'une de ses nombreuses galères) disait : les Léotard sont deux frères, un qui a réussi brillamment et l'autre qui est ministre. Grand connaisseur de Maurras, selon la tradition familiale (son père avait été haut fonctionnaire sous Vichy). La Balance, policier français de référence, tourné par un américain. Nathalie Baye a 34 ans, elle rayonne. Du très bon.
[supprimé] Capitaine Conan, avec Torreton quand il était encore acteur . Comment la guerre peut révéler un homme , qui une fois rendu à la vie civile sombre dans la dépression et l'alcoolisme .
Dashwood la vie et rien d'autre, de Tavernier. Le commandant Delaplane (Philippe Noiret, royal), se charge de rendre leur nom à des soldats que la terre continue de vomir, au lendemain de l'Armistice. On lui ordonne alors de trouver le soldat suffisamment anonyme pour devenir le soldat inconnu... Parallèlement, Sabine Azéma recherche son mari disparu... Leur rencontre apporte un peu de légèreté à l'absurde.
[supprimé] Dashwood Scénario du film élaboré conjointement par Bertrand Tavernier et Jean Cosmos, dialogues de Jean Cosmos qui fit paraître le roman éponyme en 1989. Je tiens à apporter ces précisions pour des raisons personnelles.