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« L’étude » présentée par le Lancet est appuyée sur 96 000 dossiers de patients censés avoir été touchés par le virus, et consultés informatiquement sur moins de trois semaines. Ce qui, de l’avis se tous les spécialistes, est impossible dans ces délais en dehors d’avoir procédé rapidement au recollement rapide de conclusions statistiques.
En outre ces patients ont reçu la Chlorexidine à un stade avancé de leur pathologie, alors que l’on sait qu’elle est efficace dans la première phase de la maladie.
Que le Lancet se soit mouillé à ce point, ce qui dans les cas non réellement établis est rare, doit entrer dans le conflit qui oppose Rouault à d’autres médecins qui ont largement travaillé, moyennant finances, à des études diverses relatives à des produits pharmaceutiques fabriqués par différents labos pharmaceutique, et dont Rouault est devenu l’ennemi et la bête à abattre, ses avis ayant nuit à différentes reprises tant aux labos qu’aux médecins trop généreux de leurs études et tirés à part, mais royalement rétribués.
Hier soir, les chiffres du Ministère de la Santé annoncés, montraient qu’à Marseille où pratiquement tous les malades du virus ont reçu de la Chorexidine, et proportionnellement au nombre de patients, il y avait toutes choses égales par ailleurs, 5 fois moins de mort qu’à Paris.
Il faut espérer que l’efficacité de la Chlorexidine va être confirmée, sinon la tonne de matière première du produit que La Pharmacie Centrale des Armées à Paris vient de recevoir de Chine, livrée par El-Al, qui assure la quasi-totalité des livraisons sanitaires chinoises à l’Europe, ne servirait pas à grand-chose à notre Santé Publique.
La tonne de poudre, ou les centaines de millions de comprimés que Sanofi ou Pasteur vont en tirer, pourront toujours être livrés aux pays d’Afrique où d’autres indications prouvent depuis 80 ans que dans certaines autres pathologies, le produit est efficace. Aide intelligente au Tiers Monde.
