[supprimé]
Les poètes, les artistes, les écrivains, les créateurs, tout ceux-là évoluent dans un monde sans garnisons dédiées à l'apposition de gradations sociales. Le monde libre.
Ah ah ah.
Les milieux artistiques et médiatiques sont au contraire des milieux très conformistes, où la pression sociale est tout puisqu'elle fait et défait la carrière. Simplement on s'y conforme aux normes de ces milieux, qui diffèrent quelque peu de celles du vôtre (pas tant que ça : par exemple la quasi-totalité des artistes contemporains viennent de milieux huppés et transgressent dans le respect des normes admises).
Les types brillants sont en général plus supportables
La brillance va souvent de pair avec le narcissisme, et l'érudition compense souvent des difficultés d'insertion sociale. En revanche les universitaires et les curieux ont souvent une rigueur intellectuelle qui rend la conversation un peu plus aisée.
Je note que ce n'est pas votre cas : pour vous la forme (le statut) prime sur tout.
A contrario, les plus attachés à leur escabeau du haut duquel ils peuvent toiser leurs anciens pairs, sont les petits, les frustrés. Les gus qui sont fiers de s'être élevés au point d'en être devenus vaniteux. Vous voulez des noms ?
D'un autre côté on attache peu d'importance au statut social dans les milieux qui n'en ont pas, et beaucoup trop chez ceux qui en ont. Vous n'en avez pourtant pas tant que ça mais vous y attachez tellement d'importance...