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Agri, effectivement cette communauté interpelle le reste du monde dans une proportion qui n’a aucun rapport avec son importance numérique. Ce sont les non juifs qui posent aux juifs un problème dont ils se passeraient bien. Tout ce que souhaitent les juifs, c’est qu’on leur foute la paix. Qu’on les ignore. D’autant que les juifs ne sont pas de nature apostolique et qu’ils ne veulent pas faire de conversion parmi les non juifs. Ils les refusent. Ce ne sont pas les juifs, logiquement, qui devraient poser un problème aux non juifs.
En fait, l’on connait fort bien les raisons qui créaient et entretiennent cette situation. Des milliers de chercheurs et d’historiens ont décortiqué cet aspect des relations inter-communautés.
Mais qui se mêle du vote juif ? Les candidats à des postes électifs qui pensent la politique en termes de clientélisme. C’est ce qui entraîné l’importance politique des Teamsters aux USA. La communauté juive st une communauté en principe relativement fermée sur le plan des rites sociaux et des habitudes de vie. Mais nombre de candidats croient qu’il existe réellement un vote juif. Et tentent de rallier à eux les dirigeants des milieux juifs, dans l’espoir de récupérer les voix de leur communauté.
C’est évidemment plus affirmé dans les endroits où vit une communauté juive étoffée, et un nombre de voix potentielles proportionnel. À Cannes ou à Nice il y a plus de juifs retraités aisés qu’à Saint-Étienne ou au Puy. Les élus y sont forcément pro israéliens et pro Likoud. Et en contrepartie dans tous les quartiers musulmans de la région parisienne, les candidats vontflatter les chefs de la communauté musulmane. Benoît Hamon est élu d’un secteur où 60 % des électeurs sont musulmans. En conséquence il est, en partie volontairement et en partie contraint, farouchement anti israéliens et pro ;palestinien.
Ce sont les non juifs qui se mêlent du vote juif, en espérant le récupérer. Ils n’ont rien compris. Un bourgeois ou un individu qui possède quelque chose veut le conserver. Qu’il soit juif ou pas. Il a peur que l’on y touche.
Et s’il gagne convenablement sa vie, il ne veut pas en donner trop au trésor Public. Il ne s’agit pas de morale sociale, mais de son argent. Il ne veut pas de changements importants et de Révolution. Er surtout pas d’augmentation des impôts. Il vote à droite. Par contre si sa situation sociale est au ras des pâquerettes, lui veut des changements. Il veut recevoir davantage de l’État. Il votera à gauche, qu’il soit juif ou pas.
Quant à Dreuz, je ne connais pas. Mais je vais aller voir.