C'est trop tôt pour Barbichu, pour se tirer.
Le bon traître survient toujours au dernier moment. Six mois avant les présidentielles, une démission, un livre pour expliquer à quel point il était en accord avec Macron sur rien, et hop on vise le second tour.
Barbichu a toutes les qualités du traître : il sera donc fidèle encore la veille de sa trahison. Regardez Besson, le soir il dîne avec Ségolène, le lendemain petit dej avec Sarko avec préalablement doigts dans la gorge pour vomir le repas de la veille.