Les libéraux mondialistes ont raflé la mise, en recyclant les gauchistes internationalistes et droidelomistes sous la bannière "progressisme". Du coup, le monde est devenu binaire : d'un côté les progressistes ou l'Axe du Bien, contre l'extremdrouate "radicale", ou l'Axe du Mal.
Le chômage, la désindustrialisation, l'immigration massive de populations arriérées, l'islamisation, l'explosion de la délinquance exogène, voilà ce l'on ose appeller le "progrès".