limonadier ou toujours de plus en plus de soumission tant qu'il n'aura pas la guerre, il continuera
Je suis d'accord avec toi.
limonadier ou toujours de plus en plus de soumission tant qu'il n'aura pas la guerre, il continuera
Je suis d'accord avec toi.
katou Je me demande si nous ne sommes pas en train de vivre aujourd'hui une dictature soft que des gouvernements dits démocratiques mettent en place pour contrôler les gens.
Je devrais vous lire plus souvent, c'est toujours une bonne poilade
On va pas s'en sortir avec ces élus.
Par une manœuvre juridique partisane, LREM entend procéder à l’auto-amnistie non seulement des ministres mais aussi des hauts fonctionnaires visés par les multiples plaintes déposées à leur encontre, en pleine crise sanitaire, dénonce Me Philippe Fontana, avocat au barreau de Paris.
LREM, le coronavirus et la tentation de l’amnistie
Lundi 4 mai 2020 à 10:40
(...)
Pourtant, une menace plus grave pèse sur l’exécutif. Nombre de familles de victimes du virus, de collectifs de soignants ont déposé plainte sur le fondement d’infractions telles que la mise en danger d’autrui, les blessures involontaires ou encore l’homicide involontaire.
(...)
La majorité sénatoriale, essentiellement composée du groupe Les Républicains, a donc prévu, devant le silence du texte sur ce sujet, soit de l’amender soit de le soumettre au Conseil constitutionnel, afin de renforcer juridiquement la protection des élus locaux. Cet apport parlementaire est juridiquement et politiquement bien fondé.
En l’état actuel du droit, l’engagement de la responsabilité pénale de l’élu suppose le constat soit d’une violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de prudence ou de sécurité prévue par la loi, soit d’une faute caractérisée exposant autrui à un risque d’une particulière gravité ne pouvant être ignoré. La faute caractérisée repose, selon la Cour de cassation, sur le degré de connaissance du risque par l’élu. Or, celui-ci est aléatoire concernant le Covid-19.
Par ailleurs, afin d’apprécier la gravité de la faute, le juge pénal examine si l’élu a accompli « les diligences normales compte tenu de ses compétences, du pouvoir et des moyens dont il disposait ainsi que des difficultés propres aux missions que la loi lui confie », selon les dispositions combinées des articles L 2133-34 du code général des collectivités territoriales et 121-3 du code pénal.
Là encore, en matière de lutte contre le Covid-19, l’appréciation des diligences normales risquerait d’être difficile, suscitant un risque juridique pour les maires. La question des moyens mentionnée par ce texte pourrait aussi être soumise à interprétation, surtout si le maire en manquait.
Enfin, par son ordonnance Commune de Sceaux du 17 avril 2020, le Conseil d’Etat a interdit aux maires d’adopter toute mesure dérogeant au cadre national, y compris une mesure aussi évidente que l’obligation du port du masque, ce qui accroît encore ce risque pénal évoqué.
Afin de procéder, par une subtile manœuvre juridique, à l’auto-amnistie non seulement des ministres mais aussi des hauts fonctionnaires visés par les multiples plaintes déposées à leur encontre, LREM s’est saisie de cette tentative de clarification des Républicains au Sénat.
C’est tout le sens de la tribune parue dans le JDD du 3 mai dernier et signée de 157 parlementaires LREM, dont son délégué général, évidemment en accord avec l’exécutif. Le titre de cette tribune est particulièrement lénifiant : « La reprise de l’école est notre exigence, la protection juridique des maires également. »
Or, le passage suivant mérite une particulière attention pour comprendre la manœuvre : « Nous proposerons une adaptation de la législation pour effectivement protéger les maires pénalement mais aussi toutes les personnes dépositaires d’une mission de service public dans le cadre des opérations de confinement. »
Cette tribune a été relayée par un tweet d’Aurore Bergé, ballon d’essai, puisque reprenant uniquement les termes précités.
Si le projet des sénateurs LR visait uniquement à réaffirmer le droit en vigueur et protéger les élus locaux qui vont être en première ligne dans la lutte contre le virus, celui des parlementaires LREM aurait un immense effet juridique partisan.
Le raisonnement de LREM n’est pas innocent ; en accolant le terme de « dépositaire de service public » à celui de maire, il n’a pas seulement pour but la protection des élus locaux, mais d’abord celle d’un collaborateur direct ou indirect de l’exécutif, définition juridique de la « personne dépositaire d’une mission de service public ».
Le but de LREM : accorder une future forme d’irresponsabilité pénale, aux contours encore flous, à ces personnes dépositaires de l’autorité publique et non pas seulement aux élus locaux.
Il comporte aussi un volet caché : celui de son application rétroactive, amnistie déguisée des éventuels délits commis dans la gestion de la pandémie.
En effet, il résulte de l’application des dispositions du code pénal, notamment du troisième alinéa de son article 112-1, que l’application plus douce de la loi pénale profite aux auteurs des délits commis antérieurement.
Ainsi, en protégeant demain les personnes dépositaires d’une mission de service public, les irresponsables de demain pourraient se confondre avec les amnistiés d’hier, dans une impunité pénale totale.
Seuls la majorité socialiste et le président Mitterrand, cernés par les juges pour les multiples délits de corruption qui leur étaient imputés, avaient osé procéder à une auto-amnistie en 1990. Décidément, l’ancien monde n’a pas disparu !
Et le pire ça marche auprès des gens qui protestent peu et acceptent largement cette privation des libertés.
Le gouvernement macronien prend sa revanche, lui qui a été embêté par les français et leurs manifs des gilets jaunes. Mettre au pas les français, ce gouvernement a vu que c'était possible grâce à ce virus.
La peur a bloqué cet esprit de liberté bien français et toute dictature se sert de la peur.
Une dictature soft n’envoie pas 13000 grenades "défensives" sur la tronche de 7000 gilets nassés contenant de surcroit un gaz extrêmement nocif qui fabrique du cyanure dans le sang et qui doit être utilisable qu'en cas d’unique recours. Aucun état démocratique ne pratique ceci, sauf la FRANCE.
Dans une autocratie improvisée, tout finit par se savoir, surtout si l'autoritarisme n'émane que d'un petit cercle de caporaux mal inspirés, tenants du pouvoir politique et de la puissance publique...Petite dictature sans avenir...
katou Mettre au pas les français, ce gouvernement a vu que c'était possible grâce à ce virus.
Il est enivré par le pouvoir et avec ses antécédents amoureux d'adolescents, c'est pas étonnant.
VU DU DROIT
UN REGARD JURIDIQUE SUR L'ACTUALITÉ AVEC RÉGIS DE CASTELNAU
AUTO AMNISTIE PRÉVENTIVE DE LA MACRONIE : TECHNIQUE DU COUP D’ÉPONGE
Mais le respect de l’État de droit, c’est encore beaucoup trop pour Emmanuel Macron et sa bande.
Il est clair, compte tenu de l’incurie et de la gabegie qui ont caractérisé la gestion de la crise, et ce au plus haut niveau, que nous sommes confrontés à un florilège d’infractions pénales. Dont seront saisies par les victimes les juridictions compétentes, Cour de justice de la République pour les ministres et Tribunal Correctionnel pour les hauts fonctionnaires. Et cette perspective d’avoir à rendre des comptes est insupportable à l’équipe qui entoure le chef de l’État.
Je ne pense pas que vouloir échapper au système judiciaire soit une bonne idée pour le gouvernement car ce système les protège de la justice populaire qui est plus expéditive, en général!
Le manque de PQ peut justifier l'état d'urgence, demandez à ceux qui ont choppé une gastro en plus du covid ?
La dictature est en marche .
Le 11 mai nous introduit dans une nouvelle période de théocratie impériale. Nous serons surveillés par des brigades d’anges gardiens.
Ces « brigades » qui vont vous surveiller
Déjà nous vivions sous la tyrannie du bien, ou plutôt de ce que le gouvernement croyait être bien pour nous. Le 11 mai nous introduit dans une nouvelle période de théocratie impériale. Nous serons surveillés par des brigades d’anges gardiens qui veilleront à ce que tous ceux qui ont été contaminés ou sont susceptibles de l’être soient confinés chez eux ou dans des hôtels-prisons.
Pour ce faire il faudra bien sûr généraliser une politique de délation qui commencera par les médecins auxquels, à l’encontre de leur déontologie, on demandera de violer le secret professionnel pour dénoncer ceux qui devraient être isolés. Bien pire, ils seront payés pour ça !
Les médecins généralistes recevront un forfait de 55 euros pour détecter une personne atteinte du Covid 19 et saisir les coordonnées de ses proches. Ils seront encouragés à poursuivre l’enquête au-delà du cercle familial en percevant deux euros pour chaque contact supplémentaire identifié, voire quatre euros quand les coordonnées permettant de les joindre seront indiquées, a précisé Nicolas Revel, le directeur de l’Assurance maladie, aux Échos. Vichy ne savait pas faire ça aussi systématiquement !
LES « BRIGADES » POURRONT SE RENDRE CHEZ VOUS !
(...)
En tout cas ils ont mis à la poubelle l’État de droit car ces dispositions représentent une suite de violations inimaginable des droits des personnes, et jamais sans doute réalisée en France : violation possible du secret médical, des données personnelles, du domicile, de la liberté d’aller et venir, de travailler… de ne pas prendre sa température !
La "bataille" contre le Covid-19 est "gagnée"
"Les Français ont gagné cette bataille, parce que c'est la solidité et l'esprit de responsabilité de nos concitoyens qui a permis de stopper l'épidémie."
https://fr.euronews.com/2020/05/17/covid-la-bataille-est-gagnee-selon-e-macron-l-epidemie-est-stoppee
La mine défaite, il errait comme une âme en peine dans les couloirs de l'AN, le voilà désormais utilement occupé.
NOMINATION - En plus de son rôle de secrétaire d'Etat à la réforme des retraites - désormais à l'arrêt - Laurent Pietraszewski a obtenu un nouveau portefeuille ce mercredi, en lien avec l'épidémie.
chargé de la protection de la santé des salariés contre le covid-19
Ca veut rien dire son poste.
Ils ont assez de personnel au ministère de la santé quand même.
Et pourquoi pas embaucher aussi une personne pour chaque maladie.
La "bataille" contre le Covid-19 est "gagnée"
On en reparlera en novembre.
Je me demande combien de temps il leur faudra pour transposer dans le droit commun les mesures d'exception de l'état d'urgence...
La "bataille" contre le Covid-19 est "gagnée" selon Emmanuel Macron
Ce n'est pas grâce à lui...
france2100 On en reparlera en novembre.
Le grand spécialiste des virus a parlé.