@raphaëlle#4314006 Enfin des remarques sur le fond.
Et pas -dans le désordre- des vraies-fausses questions pour amuser la galerie, relever le nombre de noms juifs, balancer le nom "Gilead" au hasard, ou encore la toute simple attaque personnelle pour camoufler l'absence d'argumentation.
Bon, je soupçonne le copié-collé de quelque part.
@raphaëlle#4314006 il s'agit d'une compilation de données recueillies dans 671 hôpitaux dans le monde. Des dizaines de milliers d'hôpitaux dans le monde ont donc été exclus de cette étude. La sélection n'est basée sur aucun critère particulier. Il s'agit donc d'une étude partiale et partielle.
Aucun hôpital n'a été "exclu" pour la bonne et simple raison que les données recueillies l'ont été via le Surgical Outcomes Collaborative, un système de recueil de données hospitalières à des fins de recherche.
Les hôpitaux qui n'utilisent pas ce système ne sont donc pas dans la base de données.
Il n'y a donc aucune exclusion, en dehors du fait que les données utilisées sont accessibles ou pas.
L'accusation de partialité n'a donc pas de sens.
@raphaëlle#4314006 Tous les patients étaient hospitalisés.
Toutes les études de l'IHU portent sur des patients hospitalisés. Je n'ai d'ailleurs jamais vu d'études portant sur des patients non hospitalisés.
De nouveau, argument nul et non avenu.
@raphaëlle#4314006 Les patients qui ont formés le groupe témoin ne sont pas restés sans soin.
Ils ont eu des soins standards qui ne traitent que les symptômes dans la majorité des cas (60%).
Les 40% restants ont été traités avec des antiviraux dont les preuves de l'inefficacité s'accumulent (également).
Alors à moins que votre argument consiste à expliquer que les antiviraux marchent mieux que la chloroquine & Co...
La randomisation, c'est bien pour prouver un lien de cause à effet de manière indubitable.
Ici, il s'agit d'une étude avec des données réelles et les corrélations sont équivoques.
PS: pis remis dans le contexte, certaines contestations sont insensées.
L'équipe de Raoult a publié son premier papier avec une poignée de patients, mais si on en prend 100 000 à travers le monde, c'est là que c'est "partial et partiel".