Il est quand même stupéfiant qu'un sujet qui devrait regrouper tous les participants (car je rappelle que sa thématique est : être soigné face au covid) en trouve globalement deux pour choisir en cas d'attaque virale de patienter en guettant si oui ou non, l'aggravation va se produire ou non. Un qui a un avis sur tout mais des connaissances sur rien, l'autre qui n'a pas d'avis mais des partis pris qui s'agitent et gesticulent sous son bonnet à grelots.
Face à toute évidence, y compris celle qui est illustrée par la schizophrénie d'un ex-ministre de la santé : nier pour exister.
Le genre du gus qui pour tenter d'avoir raison seraient prêts à affirmer qu'une bonne mort très scientifique serait préférable à une bonne santé toute pragmatique. Toute la science vise au final l'efficacité, seuls les laborantins cristallisent sur la rigueur. Si pisser sur une brûlure soulage les malades, je pisse dessus en pleine satisfaction, disait mon arrière grand père. Un pseudo scientfique en regard des intenses capacités du dénommé sarkonaute (et que dire de celles de l'encyclopédique chat, qui explique deux topics plus loin que Mozart n'avait pas d'oreille). Il siégeait à l'académie nationale de Médecine, ce charlatan.
Entre un médicament qui soigne pas tout le temps et pas très bien et rien, je choisis le médicament.