Marrant, moi quand je lis en introduction, comme réponse à une interrogation sur la validité des étude randomisées:
Répondre à cette question nécessite d'indiquer de quel point de vue on se place. Si l'on parle pour l'industrie pharmaceutique, pour les éditeurs de grands journaux médicaux, pour les méthodologistes, pour les investigateurs, la réponse est clairement « oui ». Ces interlocuteurs forment un système de production avec des rapports très structurés et ont en commun intérêt à ce qu'il perdure : les uns pour obtenir des autorisations de mise sur le marché des médicaments et si possible de block-busters rapportant plusieurs millions de dollars, les autres pour ne pas manquer la publication d'une « avancée médicale majeure », les troisièmes parce qu'ils ont fixé les règles d'un jeu dont ils entendent rester maîtres, les quatrièmes parce que leur but (légitime) n'est pas de révolutionner le système, mais de faire carrière
Je me dis in petto que la conclusion de l'article va certainement tomber du côté où l'introduction l'aura gentiment poussée.
Pour ce qui est de l'argumentaire développé, on cause de ventilation mécanique, sujet qui se prête, à mon avis de béotien, autant à une étude en double aveugle que les exemples absurdes cités par @france2100 concernant le parachute et l'extincteur.
cadmos Les mauvaises langues disent que les études randomisées sont une source de futures méga profits pour les big pharma qui les promeuvent. Tu te rends compte...
Merdre alors ! T'imagines, si le professeur Raoult avait réalisé un test en double aveugle, il aurait pu valider la chloroquine qui ne coûte rien, tout en prenant les big pharma à leur propre jeu !
A nos actes manqués.
Et sinon, l'autre article ?