bianchi51 Et bien sa nocivité n’est pas "faible" et ne peut être "bien maîtrisé" par le grand public au point d’être mis en ventre libre.
Elle était en vente libre début janvier 2020. La posologie est indiquée sur la boîte.
Ce que demande Douste Blazy et Co, c'est la possibilité de la prescrire pour les médecins de ville, et administrer dès obtention du test positif pas quand le malade est à moitié mort dans le coma.
En fait je commence à me poser la question. On a tout fait pour éviter les tests. S'il y a une possibilité de tests à gogo comme dans les autres pays civilisés et avancés, et qu'un médecin de ville, qui connaît son malade, dispose par exemple d'un tensiomètre, comme le machin que tout le monde a chez soi, voire d'un appareil ECG, comme sur les montre Apple Watch (qui se trouve pour 30 euros partout sur internet), et qu'il suit son malade (le voit "oh grand luxe" une fois par jour ou envoie une aide soignante prendre les mesures), le risque déjà ultra-faible, devient nul.
En fait, le seul problème en France, pour cette épidémie, c'est le gouvernement. On a déjà toutes les solutions pour faire du mieux possible, entre nous car elles existent chez nous, mais il faut l'autorisation du pouvoir, qu'on attend depuis 4 mois maintenant. Gouvernement qui invente à chaque fois de nouvelles obstructions.
Est-ce que c'est pour nous faire oublier que si on était pas prêts dès janvier 2020, c'est à cause de Macron, ministre de Hollande, qui a supprimé le dispositif de sécurité bio-chimique français.
C'est bon, c'est oublié : il y a eu bien pire depuis. Le gouvernement, qui exécute, passera au complet, devant les tribunaux, bien avant lui.
Donner de la chloroquine à un intubé c'est comme offrir un anti-dépressif à une personne qui vient tout juste de se pendre.
D'ailleurs le gouvernement, dans sa grande sagesse, à déjà voté les décrets : le médecin aura le choix entre essayer de prolonger la torture de l'intubage sous chloroquine, laisser le malade décider de son sort en espérant que ça traîne pas trop, ou de donner des soins "palliatif" en vue de rapidement libérer la place.