tiresias
Et la liberté d'opinion dans les publications médiatiques alors ?
Cette liberté est quasi-absolue au Royaume-Uni et aux Etats-Unis ou aucune censure n'existe, comme en France.
Puisqu'au fond il s'agit d'une opinion de mauvaise foi, mais qu'on a parfaitement le droit d'avoir.
Alors The lancet a d'abord publier un erratum qui revoit certaines données (les rendant plus plausibles en enlevant les sources apparemment manifestement fausses), puis un autre correctif apporte des soi-disant données brutes hors analyse et correction pour soi-disant démonter que la régularité des données était en fait du à une correction voulue du Big Data pour avoir des situations comparables. Les intéressés disent fournir bientôt une contre-expertise d'un cabinet indépendant choisi par eux, et ne veulent pas publier la façon dont ils ont faite l'analyse ni les données brutes avec leurs sources car ce serait leur secret professionnel et industriel.
Fastoche : j'ai des chiffres mais je peux rien vous dire sur comment je les ai obtenus, parce que c'est un algorythme secret propriétaire et qui fait toute la puissance de mon analyse. Mais je peux le montrer à un pote, qui n'a aucune relation professionnelle avec moi (juré promis sur la tête de ma mère), et qui vous confirmera que c'est top fiable.
Finalement The Lancet met en garde contre le contenu de sa publication concernant ces gugusses : l'honneur du Lancet est probablement sauf, même s'il a servi ses sponsors. l'OMS et Véran reviendront probablement pas sur leur décision. Ils diront simplement plus rien, vont se taire, s'en tenir à ce qu'ils ont décidé, et si on leur pose la question répondront : "mais de quelle épidémie vous parlez ; elle est déjà passée".
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D'ailleurs, compte tenu des déclaration du ministre Véran qui a déclaré officiellement s'appuyer sur le Lancet, l'article, aussi frauduleux soit-il, tient désormais lieu de référence officielle devant la justice, puisque même un décret est venu l'accompagner, et quiconque s'aventurerait à attaquer Didier Rault pour le moindre mort d'un patient de Covid19, aura tout le support de la loi et de cet article pour gagner en justice. Sans oublier l'OMS, organisme onusien dont les avis sont reconnus en France juridiquement
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Les situation similaires ne manquent pas. C'est la reconnaissance publique qui prévaut sur la vérité scientifique.
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