Il ne saurait tarder que la CGT, FO sud-machin ou d'autres se mettent en grève dans un alibi de protection.
Un syndicaliste éboueur de Marseille au micro l'autre jour était passablement inquiétant là dessus, leur sens du service public pourrait ne pas durer.
C'est là qu'on attendra du pouvoir, dans son état d'urgence sanitaire, le droit au licenciement immédiat des grévistes de ce genre de service public.
Mais... ça ne viendra pas.