Sargon
Mais qu'est-ce que tu racontes ?!
Fait réel ou pas ? Peut importe que l'on ait inventé un mot aujourd'hui pour le désigner.
Il est bien là le problème, dès lors que de nos jours, ce mot implique une connotation de préjudice dans notre société occidentale.
Si tu m'avais lu peu après, je me sers de ce fait pour tenter de saisir toutes " les subtilités " d'une religion qui tantôt
voudrait cacher ce saint qu'on ne saurait voir, et tantôt s'en revendique au grand jour jusqu'à en récupérer les antiques pulsions.
Moi, je prends des raccourcis, et toi, les chemins de traverse . 😇
Et citer des " experts " n'est pas un gage de vérité, puisque que cette dernière est appelée à évoluer.
Rien n'est immuable, et pour le coup, il est plus que stupide de se référer à des expériences tentées auprès de sujets
sensibilisés qui viendraient légitimer malgré eux certains comportements déviants.
Une coutume anachronique en aurait fait le sens commun au sein d'une organisation socio-cultuelle donnée, et un certain cénacle a applaudi des deux mains un pervers qui aurait brisé un tabou pour satisfaire le principe d'un plaisir dévoyé chez quelques-uns ?
S'agissant de l'écrivaillon en question, j'ai rapporté une phrase d'un autre écrivain dont le nom m'échappe :
" Un Homme, ça s'empêche "...
On peut ne pas être d'accord avec ça, et on a le droit de se questionner à propos de la place octroyée à ce qu'on est à même de supposer dangereux pour la cohésion sociale et culturelle d'un pays tel que le nôtre.
Mais à chacun ses engouements.
Je me répète... Autre époque, autres moeurs.... C'est normalement le cycle des sociétés dites " civilisées ". La vision d'un monde qui devrait tendre au respect d'interdits que l'on nomme à présent comme tels puisque l'être humain, pour vivre en toute concorde parmi les siens, a édicté des règles, et dont seules la civilité et les bonnes moeurs permettent de canaliser les instincts. Dans le consensus. Cette réalité-là n'excluant pas les dérapages. Mais ceux-ci représentent tout simplement ce qu'il est devenu inconvenant et indécent de faire parmi ses semblables.
Et je me méfierai toujours de ces minorités agissantes qui voudraient nous imposer dans la violence du politiquement correct, ce qu'elles nient elles, n'être qu'une singularité. Une différence qui deviendrait le support à la victimisation
perpétuelle...