Cramos telle la feuille morte qu'il est n'a qu'une peur, ne pas être dans le vent.
Être progressiste, à la mode, dans le coup, l'anarchiste qui suit le mouvement.
Le rebelle qui n'a qu'une trouille, ne plus avoir les codes, ne plus renvoyer l'image.
Son camp est constitué de détraqués qui n'aiment rien tant que leur miroir.
Ceux qu'ils défend le méprisent, il représente surtout la décadence absolue auprès des sociétés traditionnelles.
Va donc te promener fièrement dans les quartiers salafistes avec ton anneau dans le nez, ton tatouage de cannabis géant sur les tétons et ton aiguille à tricoter plantée dans le gland...
Doux raveur...