Le pouvoir politique se couche complètement devant la CGT et c'est scandaleux. Ce sont des actes illégaux et il n'est pas possible de recevoir un représentant syndical qui approuve publiquement.
Du côté des médias ce n'est pas mieux : pas de prise de position véritable.
Ces anarchistes bolchévistes qui brandissent l'alibi syndical coutent des milliards à l'économie, au contribuable, et aussi détruisent à petit feu la notion de légalité et d'ordre public puisqu'il n'y a quasiment aucune réaction.
C'est à la tête qu'il faut commencer à agir : on ne reçoit plus le Martinez et on explique pourquoi.