Sargon
Le premier traité de Maastricht, le vrai, que la France, et les autres pays concernés, ont signé dans l’allégresse, prévoyait dans le texte que tout ce qui pouvait relever de la commercialisation devait être privatisé. Le fleuve de milliards généré par les questions de santé ne profite que partiellement au privé. Ce qui est en cours est simplement la marche vers une privatisation forcée de tout ce qui touche à la Santé : Sécurité Sociale, médicaments, services hospitaliers, etc.
Les cliniques privées sont l’un des placements préférés, les plus recherchés, et parmi les plus rentables pour les investisseurs. C’est maintenant au tour des assureurs d’exiger leur part du gâteau. Et c’est ce qui est en cours.