jack127 Le rapport avec la pollution est pourtant simple. Regardez l'industrie textile qui est la deuxième plus polluante au monde et cette production se concentre en grande partie dans quelques pays seulement donc imaginé les conséquences que celà engendre dans ces zones là sans compter les ressources que celà demande. Là encore il faut 7 500 litres d’eau pour fabriquer un jean. Nécessaire à toutes les étapes de fabrication d’un vêtement, l’eau est aussi indispensable pour appliquer teintures et produits chimiques. Quatre-vingt-treize milliards de mètres cubes d’eau sont employés chaque année par l’industrie textile. Quand on parle de pénurie d'eau à venir dans le futur, on n'est pas dans la fiction.
Pour le reste, si vous considérez que des gamins de 12 ans qui travaillent 10 heures par jour pour subvenir aux besoins de leurs familles sont libres alors nous n'avons pas la même conception de la liberté.
Exemple magistral.
Quel rapport entre ce flot de mots et l'Inde qui serait victime de néo-colonialisme?
Evidemment, vous avez du mal à lier des choses qui sont connectées de manière évidente: il y a 100 ans, des gamins travaillaient aussi dans des mines en France. C'était du néo-colonialisme?
Je cite:
jack127 l'inde est effectivement très polluée aux abords des grandes villes à cause d'un système néo colonial qui l'exploite sans se soucier des conditions de travail, ni de la pollution engendrée par cette industrialisation forcée.
Vous supposez que si une industrie est polluante, alors elle est imposée. Assertion complètement absurde.
La présence d'industrie très polluante n'a rien à voir avec du néo-colonialisme, c'est surtout que quand un pays devient suffisamment riche, il peut se permettre de les délocaliser pour exporter les inconvénients tout en important les avantages.
Et c'est d'ailleurs la même chose pour le travail infantile: quand un pays devient suffisamment riche, il peut se permettre de le supprimer. Aucun rapport avec une pression extérieure.
L'Inde subirait une industrialisation forcée... je n'avais même pas relevé jusqu'ici. Le gag de l'année.
L'Inde veut de cette industrialisation, pour devenir riche. Ce qu'elle devient d'ailleurs.